Affaireconclue remonte le temps. Magazine – PrĂ©sentation Sophie Davant – RĂ©alisation SĂ©bastien Pestel – Production Warner Bros. International Television Production France Diffusion le mardi 25 janvier Ă  partir de 21.10 sur France 2 Affaire conclue est Ă  voir et revoir sur Sixjours aprĂšs que son frĂšre jumeau Grichka soit dĂ©cĂ©dĂ© du Covid-19, Igor Bogdanoff disparaissait Ă  l'Ăąge de 72 ans Ă  l'hĂŽpital Georges-Pompidou, le lundi 3 janvier 2022. Comme son frĂšre "qui n'Ă©tait pas un antivax" selon son avocat, le pĂšre de famille n'Ă©tait pas vaccinĂ© contre le Covid-19. HospitalisĂ© peu de temps aprĂšs Le25/01/2022 Ă  23:29 par Rime El Himani Ce mardi 25 janvier, Caroline Margeridon a battu son record d'enchĂšres dans Affaire conclue. L'acheteuse n'a pas hĂ©sitĂ© Ă  dĂ©bourser la somme de 39 000 AuteurHerbefol PubliĂ© le 25 juillet 2022 18 juin 2022 CatĂ©gories Anthologie, Historique Étiquettes Jean-Christian Petitfils Laisser un commentaire sur Les Ă©nigmes de l’histoire du monde, dirigĂ© par Jean-Christian Petitfils Les Affaireconclue. Anne-Catherine Verwaerde le 11 mai 2021. Affaire conclue. Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + CrĂ©er mon blog. Aux pieds des Dames : les beautĂ©s du show-business women. N'hĂ©sitez pas Ă  aller voir aussi ma chaĂźne You Tube et Ă  vous y abonner : le lien est en-dessous . Accueil; Politiques; Actrices; Chanteuses; Laloi du 9 dĂ©cembre 2016, dite Loi Sapin 2, a créé une procĂ©dure, permettant au procureur de la RĂ©publique de conclure une convention judiciaire d’intĂ©rĂȘt public avec une personne morale mise en cause pour des faits d’atteintes Ă  la probitĂ©. Cette mesure alternative aux poursuites est applicable aux entreprises, associations, collectivitĂ©s territoriales, etc. HfRa. Quelques mois aprĂšs son Ă©limination lors des matches de barrages comptant pour la Coupe du monde Qatar 2022, l’instance faitiĂšre du football algĂ©rien fraichement dirigĂ©e par Djahid Zefzef a pris une forte dĂ©cision concernant le recours opposant l’AlgĂ©rie au peine portĂ© Ă  la tĂȘte de la FĂ©dĂ©ration algĂ©rienne de Football Faf, le patron du football algĂ©rien est revenu sur le recours dĂ©posĂ© auprĂšs de la FIFA afin de faire rejouer le barrage face au Cameroun. En effet, d’aprĂšs les propos rapportĂ©s par DZ Foot, Djahid Zefzef a mĂȘme considĂ©rĂ© que le dossier portĂ© par la FAF n’était pas suffisamment appuyĂ©. Je ne pense pas que la FAF ai transmis un dossier lourd Ă  la FIFA. Nous sommes dĂ©jĂ  tournĂ©s vers les Ă©chĂ©ances de 2023, 2025 et 2026. Nous n’attendons plus rien. », a-t-il rappel, les poulains de Djamel Belmadi s’étaient inclinĂ©s, le 29 mars dernier, au bout du temps additionnel face aux Lions Indomptables. Une dĂ©faite qui n’a pas manquĂ© de causer du bruit car les AlgĂ©riens n’ont pas ratĂ© l’arbitre gambien Bakary AlgĂ©rie-CamerounSee morePrevious article Mercato l’incroyable dĂ©claration du Laporta au sujet de LewandowskiNext article Lyon pourrait intĂ©grer Ă  la fois Lacazette et DembĂ©lĂ© dans la mĂȘme Ă©quipe, dĂ©clare l’entraĂźneur Peter Bosz L’information est de taille. Le curieux jugement du tribunal civil d’Abidjan en date du 2 juin 2022 condamnant uniquement Leigh Day & Co Ă  ne verser que la somme de 3 milliards 613 millions 868 mille 199 F CFA au Reandvidet-ci dans le montant dĂ©tournĂ©, a fait bondir les victimes des dĂ©chets toxiques. Et pour cause, le curieux jugement du Tribunal d’Abidjan qui passe devant la porte de la SGCI. C’est qu’au terme d’un audit judiciaire ordonnĂ© par le Tribunal d’Abidjan le 15 juillet 2021 et dont le rapport final y relatif a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© audit Tribunal le 18 janvier 2022, vu les rĂ©sultats de celui-ci mettant le dĂ©tournement de leurs fonds d’indemnisation d’un montant de 9 milliards 5 millions 419 mille 619 F CFA Ă  la charge de la SGCI, les victimes ont sollicitĂ© dudit Tribunal, la condamnation de cette banque Ă  reverser au Renadvidet-Ci, leur association, cette somme et ce, avec les intĂ©rĂȘts de retard depuis le 24 septembre 2009, date d’ouverture de leur compte dans cette banque au jour de la signification de cette dĂ©cision Ă  celle-ci. Aussi, ont-elle sollicitĂ© la condamnation solidaire de la SGCI et du Cabinet Leigh Day & Co Ă  leur payer, la somme de 18,750 milliards de F CFA qui devait ĂȘtre due aux 25 mille victimes non indemnisĂ©es sur les indemnisables pour toutes causes de prĂ©judices confondus du fait de ce dĂ©tournement. Curieusement, le Tribunal d’Abidjan dans sa dĂ©cision de juin 2022 a fait abstraction de la SGCI en condamnant seulement le cabinet d’avocat de la sociĂ©tĂ© Trafigura Leigh Day basĂ© Ă  Londres Ă  verser au Renadvidet-Ci, le solde rĂ©siduel de leur compte logĂ© Ă  la SGCI d’un montant de 3 milliards 613 millions 868 mille 199 F CFA. Un fonds faisant partie du montant total 22 milliards 500 millions FCFA de leur indemnisation dĂ©tournĂ©e Ă  la SGCI et cela, sans aucun intĂ©rĂȘt de droit et dommage et intĂ©rĂȘt. La SGCI ne se sentant directement pas concernĂ©e par cette dĂ©cision entend s’opposer Ă  l’exĂ©cution de celle-ci en se fondant sur le prĂ©tendu solde de 0 F CFA» indiquĂ© par elle sur les relevĂ©s bancaires qu’elle a communiquĂ©s Ă  l’Expert dans le cadre de l’audit menĂ©. Une action correctionnelle annoncĂ©e par les victimes Ă  Paris contre monsieur Bernard Labaden, ex directeur gĂ©nĂ©ral de la SGCI et devant le tribunal correctionnel d’Abidjan contre la SGCI pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs, faux en Ă©criture privĂ©e de banque, abus de confiance portant sur des numĂ©raires, blanchiment de capitaux et financement de terrorisme. Des organisations internationales de dĂ©fense des droits de l’Homme sont saisies Ă  Paris par les victimes des dĂ©chets toxiques d’Abidjan Ă  cette fin, pour se voire reverser les 9 milliards cinq millions quatre cent dix-neuf mille six cent vingt-neuf 9. 005. 419. 629 F CFA des victimes, membres du Reandvidet-Ci dĂ©tournĂ©s. DĂ©couvrez avec l’histoire de l’étrange fonds bien trouvable dans les tiroirs de la SGCI en CĂŽte d’Ivoire. Suivez ! Voici 22, 5 milliard FCFA » Suite au dĂ©versement des dĂ©chets toxiques Ă  Abidjan et ses banlieues, par le bateau Probo-Koala affrĂ©tĂ© par la SociĂ©tĂ© Trafigura au Port Autonome d’Abidjan dans la nuit du 19 au 20 aoĂ»t 2006, plusieurs personnes ont connu des problĂšmes de santĂ©, bien d’autres en sont dĂ©cĂ©dĂ©es et beaucoup d’autres encore continuent de dĂ©cĂ©der pour avoir inhalĂ© lesdits produits. Face Ă  ce scandale humanitaire, la SociĂ©tĂ© TRAFIGURA a dĂ» verser une somme de 100 milliards de F CFA Ă  l’Etat de CĂŽte d’Ivoire en vue, en autres, d’indemniser les victimes par lui recensĂ©es. Courant novembre 2006, un cabinet d’Avocats anglais basĂ© Ă  Londres dĂ©nommĂ© LEIGH DAY & CO a Ă©tĂ© individuellement constituĂ© par d’autres victimes des dĂ©chets toxiques pour engager une procĂ©dure judiciaire contre la SociĂ©tĂ© TRAFIGURA devant les Juridictions de Londres. L’objet de cette procĂ©dure Ă©tait d’obtenir la condamnation de cette SociĂ©tĂ© Ă  leur payer une indemnitĂ© pour les divers prĂ©judices qu’elles ont subis et ce, pour avoir Ă©tĂ© exposĂ©es aux Ă©manations dĂ©gagĂ©es par les dĂ©chets pĂ©troliers du Probo-Koala. En aoĂ»t 2009, sur les plaintes individuelles dĂ©posĂ©es par Leigh Day devant la Justice anglaise, d’entre-elles ont Ă©tĂ© validĂ©es par celle-ci. Entre novembre 2006 et aoĂ»t 2009, toutes les victimes parties dans cette procĂ©dure ont donnĂ© un mandat exprĂšs audit Cabinet, Ă  l’effet de les reprĂ©senter dans celle-ci devant les Juridictions Britanniques. A la veille du procĂšs prĂ©vu pour se tenir en octobre 2009 devant la Haute Cour de Justice de Queens, un accord transactionnel Ă©tait intervenu entre Leigh Day et la SociĂ©tĂ© Trafigura. Ainsi, dans une lettre datĂ©e du 8 septembre 2009 adressĂ©e Ă  chacun de ses clients, victimes des dĂ©chets toxiques, LEIGH DAY a exposĂ© aux victimes dont les dossiers d’indemnisation ont Ă©tĂ© validĂ©s par la justice anglaise, le contenu de l’offre de Trafigura, Ă  savoir que cette SociĂ©tĂ© proposait de payer Ă  chacune d’elles, la somme de 750. 000 F CFA. Eu Ă©gard au mandat individuel donnĂ© par chacune des victimes Ă  Leigh Day, les juristes de ce Cabinet ont rencontrĂ© individuellement chacune d’elles pour lui donner l’opportunitĂ© de poser toutes les questions nĂ©cessaires avant d’accepter ou de refuser cette offre transactionnelle. Car, le refus de l’une d’entre-elles de cette offre emportait continuation de sa procĂ©dure contre cette SociĂ©tĂ© devant les Juridictions de Londres. Suite Ă  l’accord unanime donnĂ© par les victimes Ă  cette offre transactionnelle, Trafigura a fait transfĂ©rer le 24 septembre 2009, sur le compte des victimes ouvert par Leigh Day dans les livres de la SGCI et dĂ©nommĂ© indemnisations des particuliers», la somme de 22 milliards 500 millions de F CFA reprĂ©sentant l’indemnisation globale des victimes. Suite audit transfert, Leigh Day a Ă©tabli un chronogramme de distribution de ces fonds se prĂ©sentant comme suit du 12 au 24 octobre 2009, distribution de codes pin aux victimes. Ces codes pin sont des numĂ©ros secrets octroyĂ©s Ă  chacune des victimes par Leigh Day. Et du 2 au 14 novembre 2009, distribution de leur carte bancaire SGCI, pour permettre Ă  chacune d’elles de retirer en toute sĂ©curitĂ© son indemnisation. dĂ©but de la forfaiture Au moment oĂč Leigh Day s’organisait pour procĂ©der Ă  leur indemnisation, une association sortie de nulle part, une association dĂ©nommĂ©e Coordination Nationale des Victimes des DĂ©chets Toxiques de CĂŽte d’Ivoire dite CNDVT-CI nĂ©e dans le courant du mois de cette indemnisation, soit le 1er septembre 2009, a fait intrusion dans cette procĂ©dure, pour demander que la totalitĂ© des milliards de F CFA soit mise Ă  sa disposition afin d’indemniser les victimes desquelles, elle a prĂ©tendu avoir reçu mandat. Il s’en suit alors, une odyssĂ©e juridico-judiciaire. A la suite d’une mobilisation massive des victimes, le 6 novembre 2009, devant le palais de justice d’Abidjan-Plateau pour crier Ă  l’imposture de cette Coordination fictive, celle-ci sera dĂ©boutĂ©e pour dĂ©faut de capacitĂ© juridique et Leigh Day curieusement dĂ©clarĂ© mal fondĂ© en sa demande de procĂ©der Ă  l’indemnisation de ces victimes. Suite Ă  l’appel interjetĂ© par les deux parties, alors que les victimes s’attendaient Ă  une dĂ©cision de la Cour d’Appel d’Abidjan prĂ©vue pour ĂȘtre rendue le 8 fĂ©vrier 2010, contre toute attente, cette dĂ©cision a Ă©tĂ© rendue le 22 janvier 2010. Elle a fait droit Ă  la requĂȘte de cette association de voir transfĂ©rer les milliards de F CFA sur son compte et ordonnĂ© Ă  la SGCI de lui remettre la liste des indemnisables sous astreinte comminatoire d’un million de F CFA par jour de retard d’exĂ©cution. Le 26 janvier 2010, Leigh Day s’est pourvu en cassation pour le compte des victimes et le mĂȘme jour a sollicitĂ© une ordonnance de suspension Ă  l’exĂ©cution de cette dĂ©cision de la Cour d’Appel. Le 28 janvier 2010, l’ex Cour SuprĂȘme, l’actuelle Cour de Cassation a rendu ladite ordonnance et autorisĂ© Leigh Day Ă  assigner la Cndvt et la SGBCI qui deviendra SGCI en rĂ©fĂ©rĂ© d’heure Ă  heure, par-devant lui, pour l’audience du 8 janvier 2010 Ă  11 heures. C’est en cet Ă©tat de cette procĂ©dure, que Leigh Day a violĂ© le mandat individuel de chacune des victimes en radiant de façon unilatĂ©rale leur pourvoi en cassation et en formant Ă  leur insu, le 11 fĂ©vrier 2010, un protocole d’accord et de rĂšglement amiable et transactionnel avec cette Coordination fictive, Ă  l’effet de lui confier ledit processus d’indemnisation. Mais, pour Ă©viter un Ă©ventuel dĂ©tournement de ces fonds, ce protocole prĂ©voyait du 1er au 21 mars 2010, une remise conjointe de 23 mille chĂšques Ă  23 mille victimes sur les indemnisables par le Cabinet d’Avocats ivoiriens Klemet-Sawadogo-Kouadio dit KSK, Cabinet d’Avocats postulant du Cabinet Leigh Day et la CNDVT-CI. L’indemnisation des victimes restantes devait ĂȘtre transfĂ©rĂ©e par la SGCI dans un compte que devait ouvrir cette Coordination dans les mĂȘmes livres de cette banque. A charge pour la SGBCI d’indemniser exclusivement toutes les victimes en vĂ©rifiant prĂ©alablement tous leurs documents d’indemnisation dĂ©tenus par elle pour les besoins de cette indemnisation. A cet effet, le protocole sus indiquĂ© Ă  la page 17 prĂ©voit ce qui suit A la fin de chaque journĂ©e de vĂ©rification, Leigh Day transmettra une liste de personnes validĂ©es Ă  la CNDVT et au PrĂ©sident du comitĂ© d’arbitrage. Cette liste sera alors signĂ©e par Leigh Day, la CNDVT et le PrĂ©sident du comitĂ© d’arbitrage, Ă©tant prĂ©cisĂ© que seules les signatures de la CNDVT et du PrĂ©sident du comitĂ© d’arbitrage, selon les cas, vaudront ordre de paiement. Cette liste sera ensuite transmise Ă  la SGBCI, accompagnĂ©e d’un fichier PDF contenant toutes les informations utiles aux vĂ©rifications de la SGBCI prĂ©alables au paiement des victimes par ses soins ». A la page 18, 2Ăšme paragraphe, ce mĂȘme protocole stipule ce qui suit A l’issue de la derniĂšre pĂ©riode de paiement par la banque, la SGBCI transfĂšrera, au crĂ©dit du compte SGBCI de la CNDVT, le solde rĂ©siduel du compte n°00. 111. 111. 532. ouvert dans ses livres sous l’intitulĂ© indemnisation des particuliers ». Attendu que ce protocole prĂ©voyait aussi, Ă  la mĂȘme page 17, qu’à l’issue de la derniĂšre pĂ©riode de paiement des victimes, soit le 21 mars 2010, si des victimes n’étaient payĂ©es, soit pour des raisons organisationnelles, soit en raison de leur absence, une pĂ©riode maximum de deux semaines leur serait accordĂ©e Ă  cette fin, soit du 21 mars 2010 au 05 avril 2010. Suite Ă  l’arrĂȘt brusque et dĂ©finitif de ce processus Ă  la date du 19 mars 2010, soit deux jours avant l’arrĂȘt conventionnel de principe, 25 mille victimes non indemnisĂ©es abandonnĂ©es Ă  leur triste sort par leur mandataire, le Cabinet Leigh Day & Co, se sont rĂ©unies Ă  la mairie d’AdjamĂ© dans le cadre d’une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale constitutive d’une association et Ă©lective de son bureau exĂ©cutif. Au terme de cette assemblĂ©e GĂ©nĂ©rale naissait le RĂ©seau National Pour la DĂ©fense des Droits des Victimes Des DĂ©chets Toxiques de CĂŽte d’Ivoire dite RENADVIDET-CI. A la tĂȘte de cette association a Ă©tĂ© portĂ© monsieur Koffi Hanon Charles, Ăšs qualitĂ© de PrĂ©sident et mandat lui a Ă©tĂ© donnĂ© par ses pairs, Ă  l’effet de poursuivre Gohourou Claude et autres pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs et dĂ©tournement de leur indemnisation. Et Leigh Day & CO en violation de leur mandat individuel pour avoir confiĂ©, sans leur consentement, leur indemnisation Ă  une association inconnue d’elles. Bien avant la constitution de cette association, ces 25 mille victimes avaient saisi le 16 mars 2010, la Juridiction PrĂ©sidentielle du Tribunal de PremiĂšre Instance du Plateau, d’une ordonnance de sĂ©questre portant sur leurs fonds d’indemnisation d’un montant de milliards de F CFA dans le montant global des milliards de F CFA. Cette ordonnance leur avait Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©e par ledit Tribunal le 19 mars 2010, c’est-Ă -dire, Ă  la mĂȘme date de l’arrĂȘt brusque et dĂ©finitif de ce processus d’indemnisation Ă  l’initiative du Cabinet KSK pour cause de malversations constatĂ©es par lui dans la gestion desdits fonds Ă  la SGCI. Petits calculs avec la SGCI Suite Ă  la signification de cette ordonnance de sĂ©questre Ă  la SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale de Banque en CĂŽte d’Ivoire SGBCI actuellement dĂ©nommĂ©e SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale CĂŽte d’Ivoire SGCI, l’accusĂ© de rĂ©ception de cette banque portait la mention suivante Nous portons Ă  votre connaissance, sous rĂ©serve des opĂ©rations de virement en cours, que nous avons payĂ© Ă  ce jour victimes et que le solde est largement en deçà du montant indiquĂ© ». Qu’en s’en tenant Ă  cette dĂ©claration dĂ©pourvue de toute Ă©quivoque, la SGCI affirmait, Ă  la date de l’arrĂȘt brusque et dĂ©finitif de ce processus, dĂ©tenir l’indemnisation de victimes, soit – 12. 000. En transfĂ©rant le 24 mars 2010, en violation de leur ordonnance de sĂ©questre et des dispositions du protocole prĂ©citĂ©, l’indemnisation de victimes dans un compte ouvert frauduleusement par la CNDVT-CI Ă  ACCESS BANK devenue AFRILAND FIRST BANK, il devait rester Ă  ce jour, dans les livres de la SGCI, l’indemnisation d’au moins 11 mille victimes. Par ailleurs, concomitamment Ă  cette action civile, les victimes initiaient une procĂ©dure pĂ©nale devant le Procureur de la RĂ©publique contre la SGBCI, GOHOUROU Claude et autres portant sur le dĂ©tournement des milliards de F CFA. Ainsi, pour Ă©viter que cette enquĂȘte ne soit menĂ©e dans son institution, la SGCI a dĂ» transfĂ©rer sur le compte de la CNDVT-CI ouvert frauduleusement Ă  Access Bank CĂŽte d’Ivoire devenue Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire, la somme de milliards de F CFA. A l’occasion de ce transfert, 157 milliards 648 mille F CFA ont disparu Ă  la SGCI si bien que c’est que c’est 4,658 milliards de F CFA qui ont Ă©tĂ© rĂ©ceptionnĂ©s sur le compte de cette association et dĂ©tournĂ©e par elle et autres, et ce, au terme de l’arrĂȘt correctionnel contradictoire dĂ©finitif N°645/16 de la Cour d’Appel d’Abidjan confirmĂ© par l’arrĂȘt correctionnel contradictoire N°145 rendu le 18 mai 2022 par la mĂȘme Cour d’Appel d’Abidjan saisie par la Cour de Cassation, Ă  l’effet de statuer Ă  nouveau sur les condamnations pĂ©nales prononcĂ©es par le Premier arrĂȘt prĂ©citĂ©. Ce transfert de fonds a Ă©tĂ© fait Ă  la requĂȘte de la CNDVT-CI au moyen d’un exploit de Commissaire de Justice dĂ©nommĂ© Notification-Commandement. A la page 19 du rapport d’enquĂȘte de la Cellule Nationale du Traitement des Informations FinanciĂšres de CĂŽte d’Ivoire CENTIF-CI, MaĂźtre SEKA Money Lucien, Commissaire de Justice qui serait l’auteur de cet exploit en a dĂ©niĂ© la paternitĂ©. Aussi, Ă©tonnant que cela puisse paraĂźtre, la SGCI a affirmĂ©, lors de l’information judiciaire ouverte par le Procureur de la RĂ©publique au 1er Cabinet d’Instruction du Plateau courant annĂ©e 2012, avoir indemnisĂ© du 1er au 21 mars 2010, 23 mille victimes et transfĂ©rĂ© l’indemnisation des victimes restantes Ă  Access Bank devenue Afriland First Bank en s’appuyant sur l’article 7 d’un prĂ©tendu avenant conclu le 06 mars 2010 par monsieur Bernard Labaden, au moment des faits, Directeur GĂ©nĂ©ral et Administrateur de la SGBCI, la CNDVT-CI et le Cabinet KSK. Qu’en consĂ©quence, elle a fait valoir qu’elle ne disposait plus d’aucune somme relative Ă  cette indemnisation. En effet, cet article 7 prĂ©voit que Accord des parties sur le processus de paiement par la SGBCI. Par l’avenant, instruction ferme est donnĂ©e Ă  la SGBCI de procĂ©der au transfert du montant Ă©quivalent Ă  l’indemnisation de six mille six cent vingt-quatre victimes Ă  la CNDVT afin de poursuivre le processus d’indemnisation conformĂ©ment Ă  l’article 6 ci-dessus ». Article 6 Accord des parties sur les objectifs de la supervision du processus de vĂ©rification et de paiement par la CNDVT ; Par l’avenant, les parties conviennent que la supervision par le facilitateur du processus de vĂ©rification et de paiement par la CNDVT durera le temps nĂ©cessaire pour lui permettre de constater que les opĂ©rations se dĂ©roulent normalement afin d’atteindre trois mille six cent soixante-deux 3. 662 chĂšques ont Ă©tĂ© Ă©mis en faveur des victimes vĂ©rifiĂ©es. Les photocopies des chĂšques Ă©tablissant que ce rĂ©sultat seront remises Ă  LEIGH DAY. A l’effet de ce processus, la CNDVT s’oblige Ă  Ă©tablir un calendrier de vĂ©rification et de paiement permettant de traiter de façon Ă©galitaire toutes les victimes non encore vĂ©rifiĂ©es qui fourniront, Ă  l’effet de cette vĂ©rification, les documents exigĂ©s dans le cadre de la procĂ©dure conjointe de vĂ©rification et de paiement publiĂ©s par les parties dans le journal FraternitĂ© Matin. Ce calendrier sera communiquĂ© Ă  LEIGH DAY pour information ». Il s’ensuit, que l’avenant citĂ© plus haut parle de transfert de fonds sans indiquer le lieu de ce transfert dĂ©jĂ  prĂ©cisĂ© dans le protocole, Ă  savoir au crĂ©dit du compte SGBCI de la CNDVT donc Ă  la SGBCI et non ailleurs pas mĂȘme Ă  ACCESS BANK. Aussi, est-il bon de faire observer que, la dĂ©lĂ©gation de signature donnĂ©e par Leigh Day Ă  son reprĂ©sentant local, le Cabinet KSK n’avait seulement pour objet que de conclure le protocole du 11 fĂ©vrier 2010 et non un avenant audit protocole tel que conclu par monsieur Bernard Labaden, au moment des faits, Directeur GĂ©nĂ©ral de la SGCI, la CNDVT-CI et le Cabinet KSK. De façon curieuse, la SGBCI n’a pas Ă©tĂ© inculpĂ©e au terme de cette information judiciaire dĂ©butĂ©e en fĂ©vrier 2012 et pris fin en 2014 au moment oĂč monsieur AHOUSSOU Kouadio Jeannot Ă©tait Premier Ministre et Ministre de la Justice », s’insurge Charles Koffi, prĂ©sident du Renavited-ci. Aussi, convient-il de faire remarquer, qu’à la page 20 dudit protocole, il est indiquĂ© que le Cabinet d’Avocats Ahoussou, Konan et AssociĂ©s oĂč ledit Premier Ministre exerçait Ăšs qualitĂ© d’Avocat a Ă©tĂ© l’Avocat de la SGBCI dans cette affaire. Charles Koffi et les victimes des dĂ©chets toxiques d’abidjan Monsieur Charles KOFFI, pour avoir dĂ©noncĂ© son influence sur le Magistrat Instructeur lors d’une manifestation pacifique organisĂ©e par le RENADVIDET-CI le 06 juin 2012 devant le palais de Justice d’Abidjan-Plateau, a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© sur plainte dudit Premier Ministre et des Institutions de la RĂ©publique et condamnĂ© le 08 juin 2012 curieusement pour dĂ©nonciation calomnieuse et atteinte Ă  atteinte Ă  l’ordre public par le Juge d’Instruction du 5Ăšme Cabinet d’Instruction du Plateau nommĂ© KonĂ© Brama qui n’avait, seulement que compĂ©tence pour juger les infractions dans les sections du Tribunal Ă©tablies Ă  l’intĂ©rieur du pays. Sorti de prison le 8 dĂ©cembre 2012, il gagne son procĂšs contre ledit Premier Ministre et les Institutions de la RĂ©publique le 11 juin 2014 devant la 3Ăšme Chambre Correctionnelle de la Cour d’Appel du Plateau, donc renvoyĂ© des fins de poursuite concernant les deux infractions sus visĂ©es. Mais, les victimes, membres du RENADVIDET-CI, convaincues de la culpabilitĂ© manifeste de la SGBCI dans le dĂ©tournement de leur indemnisation ne lĂącheront pas prise. Plusieurs procĂ©dures ont Ă©tĂ© initiĂ©es par elles contre cette banque française qui, selon elles, bĂ©nĂ©ficie de la protection des autoritĂ©s politiques et judiciaires ivoiriennes, partant, officieusement d’une immunitĂ© d’exĂ©cution Ă  l’instar des autres banques sises sur le territoire national. Toute chose qui les encourage Ă  faire tout et n’importe quoi en toute impunitĂ©. Finalement, par exploit de Commissaire de justice en date du 28 mars 2018, elles ont saisi le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du Tribunal de PremiĂšre Instance du Plateau, Ă  l’effet de voir condamner la SGCI Ă  Leur produire tous les mouvements effectuĂ©s sur le compte n° ouvert dans ses livres de la SGBCI pour les victimes dont ils font partie Ă  compter de la date du 24 septembre 2009, date du transfert par TRAFIGURA de leur indemnisation sur ledit compte jusqu’au 23 Mars 2010, date de la signification de leur ordonnance de sĂ©questre Ă  la SGBCI
 », Leur communiquer l’identitĂ© complĂšte de tous les bĂ©nĂ©ficiaires des montants figurants sur les relevĂ©s de comptes de la SGBCI ». ..de rendre compte en cas de difficultĂ©s au PrĂ©sident du Tribunal de cĂ©ans»  Leur requĂȘte a Ă©tĂ© favorablement accueillie par le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du Tribunal du Plateau par ordonnance N°1979/18 en date du 09 avril 2018. Cette dĂ©cision a Ă©tĂ© signifiĂ©e par elles Ă  la SGCI le 30 avril 2018 ; Non seulement, elle ne l’a pas exĂ©cutĂ©e, cependant, elle n’a pas non plus interjetĂ© appel de celle-ci. Face Ă  sa rĂ©sistance abusive et injustifiĂ©e Ă  exĂ©cuter les injonctions dudit Juge, par exploit de Commissaire de Justice en date du 7 juin 2018, ces victimes ont saisi Ă  nouveau le Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s, Ă  l’effet de faire assortir ladite exĂ©cution d’une astreinte comminatoire de 30 millions de F CFA par jour de retard d’exĂ©cution. Cette deuxiĂšme ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© N°3340/2018, RGN°5662/2018 a Ă©tĂ© signifiĂ©e par elles Ă  la SGCI, le 4 juillet 2018. Le jour suivant cette signification, soit le 5 juillet 2018, par exploit de Commissaire de Justice nommĂ© MaĂźtre DadiĂ© Digra Sylvain, la SGCI leur a communiquĂ© des documents bancaires supposĂ©s appartenir aux victimes par elles indemnisĂ©es. Pour Ă©viter toute discussion sur le nombre de documents par elle communiquĂ©s, les victimes ont requis MaĂźtre DouayĂ©rĂ© BeugrĂ© Jean-Sylvestre, Commissaire de Justice, Ă  l’effet d’examiner lesdits documents et leur donner le nombre de victimes indemnisĂ©es par cette banque. Au terme de cet examen, il est ressorti le nombre de victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par elle, sur les 23 mille qu’elle avait dĂ©clarĂ© avoir indemnisĂ©es lors de l’information judiciaire relative au dĂ©tournement des milliards de F CFA qu’elle a irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©s Ă  Access Bank CĂŽte d’Ivoire devenue Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire. Au vu de ces rĂ©sultats, ces victimes, par le biais de l’un de leurs conseils, MaĂźtre Dogo Koudou Martin, ont adressĂ© le 4 novembre 2019, un courrier Ă  la SGCI et Ă  son conseil, le Cabinet Abbe-Dogue-Yao et AssociĂ©s, Ă  l’effet d’interpeller cette banque sur l’exĂ©cution partielle qu’elle a faite de l’impĂ©rium du Juge des rĂ©fĂ©rĂ©s. Toute chose qui, selon elles, Ă©quivaut en droit, Ă  un dĂ©faut d’exĂ©cution. Suite Ă  cette interpellation, dans le but de stopper les astreintes comminatoires de 30 millions de F CFA qui lui ont Ă©tĂ© judiciairement imposĂ©es par jour de retard d’exĂ©cution, elle s’est empressĂ©e de faire appel non pas de la PremiĂšre ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© lui imposant des obligations de faire mais plutĂŽt de la seconde assortissant celles-ci d’astreintes comminatoires et pour cause la premiĂšre ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© a acquis autoritĂ© de la chose jugĂ©e entre ces parties, ce qui oblige dĂ©finitivement la SGCI Ă  leur communiquer au moins les documents bancaires des 23 mille victimes des dĂ©chets toxiques qu’elle a dĂ©clarĂ© avoir indemnisĂ©es du 1er au 21 mars 2010, Ă  la date de l’arrĂȘt dĂ©finitif dudit processus intervenu le 19 mars 2010. Le 19 juillet 2019, par arrĂȘt Civil N°464, la Cour d’Appel d’Abidjan a confirmĂ© ses obligations de faire en diminuant dans sa sagesse, le montant des astreintes comminatoires Ă  10 millions de F CFA par jour de retard d’exĂ©cution. Suite Ă  la signification de cette autre dĂ©cision Ă  la SGCI le 11 septembre 2019, elle avait, pour tromper la religion de la Cour, avant ladite signification, communiquĂ© le 2 septembre 2019, des documents bancaires aux victimes et en mĂȘme temps s’est pourvue en cassation contre l’arrĂȘt prĂ©citĂ©. Pour mettre un terme Ă  toute discussion puĂ©rile sur le nombre des victimes qu’elle a effectivement indemnisĂ©es, Monsieur Charles KOFFI, PrĂ©sident du RENADVIDET-CI, a commis le 5 octobre 2019, un Expert IndĂ©pendant nommĂ© Mady Mady, Expert-Comptable du Cabinet FIDEXCA, Ă  l’effet d’expertiser cette communication de piĂšces. Il ressort de l’examen desdites piĂšces en guise de conclusions ce qui suit L’absence de l’identitĂ© des bĂ©nĂ©ficiaires des chĂšques payĂ©s par la SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale de Banque en CĂŽte d’Ivoire SGBCI sur les relevĂ©s bancaires et l’absence de certains numĂ©ros de chĂšques n’ont pas permis le traitement efficient des donnĂ©es mises Ă  la disposition du Collectif des victimes des dĂ©chets toxiques. Pour la manifestation de la vĂ©ritĂ©, il serait judicieux de demander au Juge de commettre une expertise judiciaire afin d’apporter des rĂ©ponses Ă  des interrogations. Pour mĂ©moire, nous rappelons que le nombre de victimes indemnisĂ©es est de et non Ce rapport souligne aussi que En outre, un montant de 4. 658. 000. 000 F CFA a Ă©tĂ© versĂ© Ă  la CNDVT-CI en date du 24 mars 2010 pour l’indemnisation des victimes des dĂ©chets toxiques ». Il convient de faire noter, qu’en exĂ©cution partielle de la deuxiĂšme ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© N° 3340/18 en date du 04 juillet 2018 et de l’arrĂȘt Civil du 19 juillet 2019, les relevĂ©s de compte communiquĂ©s par la SGCI aux victimes affichent Ă  la date du 31 mars 2010, un solde rĂ©siduel de quatre milliards deux cent quatre-vingt-quatorze millions cinq cent sept mille trois cent vingt et un 4. 294. 507. 321 F CFA. Suite Ă  la communication, par les victimes Ă  la SGCI, des rĂ©sultats de ce rapport et sa contestation de ceux-ci, elles ont, le 3 juillet 2019, attrait le Cabinet LEIGH DAY & CO, leur ex mandataire, devant le Tribunal de PremiĂšre Instance d’Abidjan en responsabilitĂ© contractuelle pour violation de leur mandat ayant occasionnĂ© le dĂ©tournement de leur indemnisation. Dans cette action, elles ont sollicitĂ©, outre la condamnation de LEIGH DAY Ă  reverser au RENADVIDET-CI, association de laquelle sont issues ces victimes grugĂ©es, ledit solde rĂ©siduel Ă  titre de provision, le paiement de dommages et intĂ©rĂȘts et ce, dans l’attente des rĂ©sultats de l’audit judiciaire qu’elles ont aussi sollicitĂ© devant ce Tribunal. Contre toute attente et de façon curieuse d’ailleurs, la SGCI, par acte de Commissaire de Justice en date du 3 mars 2020, est volontairement intervenue dans cette action pour s’opposer catĂ©goriquement Ă  cet audit qui aurait le mĂ©rite d’éclairer sur le nombre de victimes effectivement indemnisĂ©es par elle. Les victimes ont soulevĂ© l’irrecevabilitĂ© de son action violant les dispositions de l’article 246 du code de procĂ©dure civile ivoirien et ce, pour n’avoir pas citĂ© les noms et prĂ©noms de toutes les victimes demanderesses Ă  cette action principale sur l’exploit du Commissaire de Justice requis par elle. Le Tribunal a fait droit Ă  la requĂȘte des victimes en ordonnant le 15 juin 2021, un jugement avant-dire droit N°536 au contradictoire de la SGCI et par dĂ©faut Ă  l’encontre de LEIGH DAY. En d’autres termes, nonobstant l’irrecevabilitĂ© de l’action de la SGCI, des condamnations pourraient ĂȘtre sollicitĂ©es contre elle dans le cadre de ladite action. Par ailleurs, le dispositif de ce jugement est libellĂ© comme suit PAR CES MOTIFS Statuant publiquement, par dĂ©faut, Ă  l’encontre de LEIGH DAY & CO, et contradictoirement Ă  l’encontre de la SGCI ; DĂ©clare l’intervention volontaire de la SGCI irrecevable ; DĂ©clare les demandeurs recevables en leur action ; Avant-dire droit ordonne un audit judiciaire sur le compte N° 00. 111. 111. 532. 176. 45-35 ouvert par le Cabinet LEIGH DAY & CO, dans les livres de la SGCI ; DĂ©signe pour y procĂ©der Monsieur DAN FLINDE Emmanuel, Expert-Comptable du Cabinet ECR; Dit qu’il aura pour mission de dĂ©terminer si des fonds destinĂ©s Ă  l’indemnisation des victimes existent sur ledit compte; En Ă©valuer le montant ; DĂ©terminer les victimes ayant fait l’objet d’indemnisation, le nombre et l’identitĂ© des victimes restant Ă  indemniser ; Impartissons un dĂ©lai de 3 mois Ă  l’Expert pour y procĂ©der, sous la surveillance du Juge LESSEHI H. Alain ; Dit que les frais de l’audit seront Ă  la charge des demandeurs ; Reserve les dĂ©pens». Ce jugement avant-dire droit a Ă©tĂ© rĂ©guliĂšrement signifiĂ© par les victimes Ă  la SGCI, Ă  l’Expert-Comptable et au Cabinet Leigh Day & Co le mercredi 1er septembre 2021. En ce qui concerne le Cabinet LEIGH DAY & CO, cette dĂ©cision lui a Ă©tĂ© signifiĂ©e via le Parquet du Tribunal d’Abidjan. Cette signification Ă  Parquet a Ă©tĂ© affichĂ©e par elle, le 16 septembre 2021 dans l’auditoire du Tribunal de PremiĂšre Instance d’Abidjan-Plateau, Ă  l’effet de rendre cette dĂ©cision et le jugement qui en dĂ©coulera opposable audit Cabinet un mois aprĂšs, Ă  partir de la date d’affichage de celle-ci. A la suite de cette signification, Monsieur Dan FlindĂ© Emmanuel, aux fins de rendre contradictoire son rapport final aux diffĂ©rents acteurs de ce processus, a adressĂ© un courrier d’information aux Directeurs GĂ©nĂ©raux de la SGCI, d’Afriland First Bank ex Access Bank, Charles Koffi Hanon, PrĂ©sident du Renadvidet-Ci, Gohourou Ziallo Claude François par l’intermĂ©diaire de Me Minta Douda TraorĂ©, Avocat de la CNDVT-CI, MaĂźtre Minta Daouda Traore lui-mĂȘme, le Cabinet d’Avocats ivoiriens Klemet-Sawadogo-Kouadio dit KSK reprĂ©sentant local du Cabinet Leigh Day, Ă  l’effet de les informer de sa dĂ©signation par le Tribunal, Ăšs qualitĂ© d’auditeur du compte ayant abritĂ© les milliards de F CFA destinĂ©s Ă  l’indemnisation des 29. 624 victimes des dĂ©chets toxiques. Il convient de noter, qu’en ce qui concerne Gohourou Claude, outre son conseil, Charles Koffi a informĂ© Gabo Guy, son cousin, Ă  l’effet de lui demander de participer audit dĂ©bat pour la manifestation de la vĂ©ritĂ©. Aussi, le rapport final de l’Expert Judiciaire souligne-t-il Ă  la page 29 ce qui suit MaĂźtre Minta Daouda TraorĂ© a Ă©tĂ© identifiĂ© comme le Conseil Juridique de la CNDVT-CI que dirigeait monsieur Gohourou Ziallo Claude. Dans l’impossibilitĂ© de rentrer en contact avec GOHOUROU, nous nous sommes adressĂ©s Ă  son Conseil dans l’optique de contribuer Ă  notre mission en nous produisant des documents qui ont servi au processus d’indemnisation. Cette dĂ©marche se justifie dans la mesure oĂč la CNDVT-CI et son Conseil Ă©taient au cƓur du processus, notamment dans son aspect vĂ©rification des identitĂ©s des victimes ». L’Expert, aprĂšs avoir adressĂ© Ă©galement des courriers du 06/09/2021 au 12/12/2021 Ă  ces diffĂ©rents acteurs pour obtenir des documents relatifs Ă  sa mission et aprĂšs l’inventaire de certains de ces courriers a, le 20 octobre 2021, convoquĂ© ceux-ci Ă  une rĂ©union de dĂ©marrage de sa mission Ă  son Cabinet sis Ă  Abatta-Abidjan Riviera. A cette rĂ©union, seuls ont rĂ©pondu prĂ©sents monsieur Charles Koffi, PrĂ©sident du Renadvidet-CI et la SGCI reprĂ©sentĂ©s par madame Kouma Evelyne, Directrice des Affaires Juridiques de cette banque et monsieur BaĂŻ Angelor, Juriste. Au cours de cette rĂ©union, l’Expert a affirmĂ© ce qui suit Cette rĂ©union avait pour principal objectif de prĂ©senter notre dĂ©marche de travail et d’obtenir l’adhĂ©sion de toutes les parties, mais aussi de recueillir leurs observations. A ce stade, un inventaire de la documentation reçue par les parties a Ă©tĂ© dressĂ©. La rencontre a donnĂ© lieu Ă  un procĂšs-verbal PV signĂ© par toutes les parties. Par ces signatures, les parties valident ainsi le programme de travail Ă  mettre en Ɠuvre ». Pour l’Expert, l’objectif de cette rĂ©union visait Ă  Ă©viter toute contestation ultĂ©rieure de mauvaise foi de son rapport final. Aussi, les a-t-il informĂ©s, qu’il a reçu Ă  sa demande, des documents de la part de certains d’entre eux aux fins de ladite mission. Au nombre de ceux-ci, 36 cartons de chĂšques de la SGCI. Il a fait remarquer qu’aprĂšs consultation de ceux-ci, deux cartons n’étaient pas concernĂ©s par la cause. A la page 32 de son rapport final, il a fait noter que Au terme du dĂ©pouillement des 34 cartons, nos travaux ont donnĂ© une liste brute de dix-sept mille neuf cent cinquante-cinq Victimes 17. 955 Victimes indemnisĂ©es. Ce nombre correspond au nombre de chĂšques Ă©mis par la CNDVT-CI pour le compte de LEIGH DAY & CO et payĂ©s par la SGBCI. Et Ă  cet effet, Ă  la page 25 du rapport d’audit judiciaire, il est indiquĂ© ce qui suit Toutefois, toutes les parties placent la SGCI en situation de dernier maillon de la chaine d’indemnisation des victimes des dĂ©chets toxiques». Cette liste a Ă©tĂ© envoyĂ©e par mail Ă  Charles Koffi et Ă  la SGCI pour leurs observations y relatives. Monsieur Lessehi Alain, Juge Superviseur a Ă©tĂ© mis en copie de cette liste. Les diffĂ©rentes parties n’ont fait aucune observation concernant cette liste. Aussi, ressort-il de l’examen des piĂšces, une liste de 17. 869 chĂšques identifiĂ©s sur les relevĂ©s bancaires, une liste de 86 chĂšques non identifiĂ©es. Eu Ă©gard aux nombreuses anomalies constatĂ©es sur la liste brute des 17. 955 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par la SGCI, l’Expert fait observer que cette liste ne correspondait pas forcĂ©ment au nombre de victimes effectivement indemnisĂ©es par la SGCI. Ainsi, l’Expert adresse-t-il un courrier Ă  la SGCI, Ă  MaĂźtre Minta Daouda TtraorĂ©, Ă  Afriland First Bank et au Cabinet KSK, reprĂ©sentant local de Leigh Day, Ă  l’effet d’obtenir la liste des victimes Ă©ligibles aux milliards de F CFA. Il s’agissait pour lui, de rĂ©concilier cette liste avec celle des 17. 955 victimes issues des 34 cartons de chĂšques qui lui ont Ă©tĂ© transmis par la SGCI aux fins d’arrĂȘter la liste dĂ©finitive des victimes effectivement indemnisĂ©es par la SGCI. En rĂ©ponse Ă  cette demande, le rapport d’audit souligne Ă  la page 30 ce qui suit Au total sur les quatre 4 intervenants dans ce processus d’indemnisation des victimes des dĂ©chets toxiques, aucun n’a voulu nous communiquer la liste qui puisse correspondre la liste des victimes Ă  indemniser ; la liste des victimes ayant fait l’objet d’indemnisation ; la liste des victimes restant Ă  indemniser. Toutefois, nous rappelons que les listes obtenues de la SGBCI sont trĂšs partielles et ne couvrent pas la totalitĂ© des personnes concernĂ©es. Dans ces conditions, la seule liste que nous avons pu avoir est la liste des victimes obtenue de monsieur Koffi Hanon Charles, PrĂ©sident du Renadvidet-CI. C’est donc cette liste qui nous a servi de base travail de notre mission ». En outre, ce rapport indique Ă  la page 36 que Au terme de ce travail, ce sont 11. 811 noms et prĂ©noms retrouvĂ©s sur la liste des victimes et 6. 144 noms et prĂ©noms non retrouvĂ©s sur la liste des victimes». Par ailleurs, il est Ă  faire noter que concernant la liste des 29. 624 victimes, dans son courrier du 13 septembre 2021, MaĂźtre Minta Daouda TraorĂ© rĂ©pondant Ă  celui de l’Expert en date du 5 octobre 2021, dĂ©clare ce qui suit Il serait plus judicieux, au cas oĂč vous ne pourriez joindre la CNDVT-CI, de vous adresser Ă  la SGCI ex SGBCI, chez qui ledit compte Ă©tait logĂ© et qui dĂ©tenait la liste de toutes les victimes Ă  indemniser ». Aussi, pour mettre en lumiĂšre le dĂ©tournement de leur indemnisation par la SGCI, les victimes ont brandi un mail de monsieur YacĂ© LĂ©once, au moment des faits, Directeur des Affaires Juridiques de la SGBCI envoyĂ© Ă  monsieur Ouattara Adama, l’actuel Directeur GĂ©nĂ©ral adjoint de cette banque communiquĂ© dans le cadre de cette expertise. En effet, dans ce mail, celui-ci dĂ©clare ce qui suit Bonjour, Compte tenu de la spĂ©cificitĂ© de cette opĂ©ration et des dĂ©lais qui nous sont imposĂ©s pour la rĂ©aliser merci de vous contenter de contrĂŽler le numĂ©ro de sĂ©rie du chĂšque. Pour la signature, ne vous inquiĂ©tez pas, puisque la convention indique que la responsabilitĂ© de la SGBCI est exclue en cas de fraude ou perte de chĂšque. Il est mĂȘme dit que l’émission du chĂšque vaut ordre de paiement ; Merci de donner la consigne aux caisses. 
 Merci de payer les chĂšques qui sont dans les plages dĂ©finis sans tenir compte de la signature. Cdt L. YACE», rĂ©vĂšle le prĂ©sident du Renadvited-CI. Ces consignes sont contraires aux stipulations du protocole du 11 fĂ©vrier 2010 rĂ©gissant les modalitĂ©s pratiques de cette indemnisation. A la page 16 au point relatif au processus de paiement par la SGCI, au point sur la levĂ©e du sĂ©questre, ce protocole stipule ce qui suit A l’effet de la mise en application du protocole et du paiement des victimes, des tĂ©moins et cas exemple, des reprĂ©sentants, de la SGBCI, les parties Donnent instruction ferme, expresse, dĂ©finitive et irrĂ©vocable Ă  la SGBCI d’avoir Ă  porter les sommes sĂ©questrĂ©es au crĂ©dit du compte n° 00. ouvert dans ses livres sous l’intitulĂ© indemnisation des particuliers » ; et S’interdisent de façon ferme, expresse, dĂ©finitive et irrĂ©vocable, d’instruire la SGBCI d’avoir Ă  procĂ©der Ă  d’autres paiements que ceux prĂ©vus par le protocole, et ce, dans les conditions fixĂ©s par celui-ci. Pour la bonne exĂ©cution des stipulations objet de l’alinĂ©a 1er ci-dessus, les parties en donnent instruction ferme, expresse, dĂ©finitive et irrĂ©vocable Ă  la SGBCI de ne pas exĂ©cuter les instructions Ă©ventuellement contraires ». Or, selon les victimes, monsieur YacĂ© LĂ©once aurait Ă©galement acquis dans leur indemnisation, un bien immobilier Ă  hauteur de 50 millions de F CFA. Une plainte a Ă©tĂ© portĂ©e par elles contre celui-ci devant le Procureur de la RĂ©publique. Sans aucune suite. Curieusement, lors de cet audit, les victimes ont constatĂ© que cette somme a Ă©tĂ© retournĂ©e par lui dans leur compte mais sans aucune trace dudit montant dans celui-ci, comme indique la page 20 dudit rapport. Le rapport dĂ©note en outre, un paiement injustifiĂ© de la somme de 961. 606. 101 millions de FCFA dont 666. 894. 528 millions de F CFA payĂ©s Ă  MaĂźtre Minta Daouda TraorĂ©, Avocat de la CNDVT-CI. En ce qui concerne le justificatif des milliards de F CFA irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©s par la SGBCI Ă  Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire et les millions de F CFA disparus de ce montant Ă  la SGCI, l’Expert a interrogĂ© cette banque le 11 octobre 2021. Ledit rapport souligne que En rĂ©ponse, la SGCI a fait valoir l’article 7 de l’avenant au protocole de rĂšglement amiable conclu le 20 mars 2010. Elle prĂ©cise qu’aucune dĂ©cision de justice n’est adossĂ©e Ă  ce transfert. Toutefois, pour la question concernant, l’écart de 157. 648. 000 F CFA, la banque a rĂ©pondu en disant que le chiffre probant est celui figurant sur le compte 4. 658. 000. 000 F CFA Ă  la date d’exĂ©cution de l’ordre. Et, elle poursuit, d’ailleurs la CNDVT n’a pas Ă©mis de rĂ©clamation ». Alors que l’article 7 de ce prĂ©tendu avenant citĂ© plus haut, parle du transfert desdits fonds sans indiquer le lieu de celui-ci. Etant entendu que ce lieu est indiquĂ© dans le protocole du 11 fĂ©vrier 2011 Ă  la page 18, 2Ăšme paragraphe, Ă  savoir sur le compte que la CNDVT-CI devait ouvrir dans les livres de la SGCI Ă  charge exclusive pour cette banque de payer exclusivement tous les victimes Ă©ligibles auxdits fonds d’indemnisation. A la seule condition de la remise conjointe de 23 mille chĂšques Ă  23 milles victimes. Ce qui n’est le cas, mettant une double violation des termes dudit protocole Pour ce faire, elle a reçu notification dudit protocole et donc ne pouvait valablement prĂ©tendre en ignorer les termes et la somme de 150 millions de F CFA Ă  titre d’honoraires, Ă  l’effet d’indemniser les victimes sus indiquĂ©es. Notification du protocole Ă  la SGCI indiquĂ© Ă  l’article 5 du sommaire dudit protocole et les honoraires de la SGCI prĂ©cisĂ©s au point b de la page 9 du mĂȘme protocole. Aussi, ce transfert desdits fonds Ă  Afriland Firs Bank a-t-il Ă©tĂ© fait par la SGBCI sans aucune liste des victimes bĂ©nĂ©ficiaires de ceux-ci prĂ©mĂ©ditant ainsi son dĂ©tournement par la CNDVT-CI, monsieur Adama Bictogo, l’actuel prĂ©sident de l’AssemblĂ©e Nationale ivoirienne et autres ; selon le rapport d’enquĂȘte de la Direction de la Police Economique et FinanciĂšre. A ce sujet, rĂ©pondant au courrier de l’Expert en date du 1er dĂ©cembre 2021 concernant la communication Ă  lui par la SGBCI de la liste des victimes dont l’indemnisation a Ă©tĂ© irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©e par elle Ă  Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire, cette banque, dans son courrier rĂ©ponse en date du 7 dĂ©cembre 2021, a rĂ©pondu ce qui suit La liste des victimes dont la liste a Ă©tĂ© transmise Ă  Afriland First Bank. La banque ne dĂ©tient pas cette liste. En effet, il faut prĂ©ciser que l’intervention de la SGBCI se limitait Ă  exĂ©cuter des ordres du client titulaire du compte dans ses livres, en l’occurrence le Cabinet Leigh Day, sans s’immiscer dans le processus d’indemnisation. Nous vous prions de vous rapprocher de Leigh Day et de la CNDVT-CI ». Pour terminer ces travaux relatifs Ă  cet audit, l’Expert a effectuĂ© des appels tĂ©lĂ©phoniques Ă  un Ă©chantillon de plus d’une centaine de victimes sur les 11. 811 victimes supposĂ©es effectivement indemnisĂ©es par la SGBCI. Les rĂ©sultats n’ont pas Ă©tĂ© concluants. Car, la totalitĂ© des victimes n’ a pas touchĂ© plus de 400 mille F CFA dans les F CFA qui devenait en dĂ©finitive revenir Ă  chacune d’elles et d’autres ont affirmĂ© n’avoir rien reçu. Etant entendu que la SGBCI a fait une rĂ©tention indue de la somme de 500 F CFA pour ne payer Ă  chacune d’elles que la somme de 727. 000 F CFA. Concernant ces appels tĂ©lĂ©phoniques, le rapport d’audit judiciaire Ă  la page 73 souligne que Comme rappelĂ© plus haut, ce test n’a pas donnĂ© de rĂ©sultats satisfaisants. Nous n’avons pas jugĂ© utile de poursuivre ce travail ». Aussi, une annexe audit rapport a permis Ă  l’Expert de faire noter l’existence de 16 chĂšques payĂ©s par la SGCI et portant les mĂȘmes numĂ©ros ; toute chose qui parait impossible, car, une mĂȘme institution bancaire ne saurait dĂ©tenir 2 chĂšques portant le mĂȘme numĂ©ro. Au terme de ses travaux, une rĂ©union de fin de mission a Ă©tĂ© convoquĂ©e le 16 dĂ©cembre 2021 par l’Expert Ă  son Cabinet en vue de prĂ©senter le projet de son rapport final aux diffĂ©rents acteurs de ce processus pour leurs Ă©ventuelles observations avant la rĂ©daction de celui-ci. Ce, pour Ă©viter toute contestation ultĂ©rieure par l’une ou l’autre partie de mauvaise foi basĂ©e sur celui-ci. Charles Koffi a non seulement pris acte des rĂ©sultats issus des travaux de rapprochement de la liste des 17. 955 chĂšques issus du dĂ©pouillement aux relevĂ©s bancaires mais aussi et surtout du projet du rapport final des travaux relatifs Ă  cet audit. Concernant la SGCI, elle ne se prononcera pas sur le projet de rapport dans son courrier du 7 janvier 2022, selon nos dĂ©couvertes. Curieusement, au final la SGCI considĂšre que la rĂ©alitĂ© est celle donnĂ©e par les relevĂ©s bancaires qui indiquent le solde de 0 F CFA Ă  la date du 31 aoĂ»t 2010. Et qu’en consĂ©quence, elle rejette le projet de rapport. En rĂ©ponse aux injonctions du Juge, Ă  savoir Sur l’existence des fonds destinĂ©s Ă  l’indemnisation des victimes l’Expert a rĂ©pondu que MalgrĂ© le solde de 0 F CFA affichĂ© sur les relevĂ©s bancaires, nous concluons que OUI, il devait exister sur le compte des fonds destinĂ©s Ă  l’indemnisation des victimes n’ayant pas Ă©tĂ© dĂ©dommagĂ©es Ă  ce jour ». Sur l’évaluation du montant l’Expert a rĂ©pondu que MalgrĂ© le solde de 0 F CFA affichĂ© sur les relevĂ©s bancaires, nous concluons que le solde du compte auditĂ© devrait s’établir Ă  neuf milliards cinq millions quatre cent dix-neuf mille six cent vingt-neuf francs CFA 9. 005. 419. 629 F CFA au moins ». Sur la liste des victimes ayant fait l’objet d’indemnisation Le nombre des victimes ayant fait l’objet d’indemnisation s’établit Ă  onze mille huit cent onze 11. 811 victimes. Sur le nombre et l’identitĂ© des victimes restant Ă  indemniser Le nombre des victimes membres du RENADVIDET-CI restant Ă  indemniser est de dix-sept mille huit cent treize 17. 813. Ce chiffre s’obtient par la diffĂ©rence entre et 11. 811. Ce qui veut dire que la liste des 17. 813 victimes, contient la liste des victimes pour lesquelles 4. 658. 000. 000 F CFA ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s Ă  Afriland First Bank CĂŽte d’Ivoire ex ACCESS BANK. Pour les victimes, eu Ă©gard aux limitations, aux difficultĂ©s volontaires et de mauvaise foi qui ont Ă©tĂ© opposĂ©es Ă  l’Expert dans l’exĂ©cution de cette mission judiciaire par la SGCI, Afriland First Bank, le Cabinet KSK et Gohourou Claude qui a fui les dĂ©bats, il n’a pas pu parvenir Ă  la manifestation totale et entiĂšre de la vĂ©ritĂ© concernant les 25 mille victimes, membres du Renadvidet-CI qui, en principe, n’ont pas Ă  ce jour Ă©tĂ© indemnisĂ©es sur les victimes indemnisables. Toutefois, au vu des rĂ©sultats de cet audit, les victimes, dans leurs nouvelles Ă©critures dĂ©posĂ©es devant le Tribunal et tenant lieu d’observations audit rapport, ont reformulĂ© toutes leurs prĂ©tentions originaires en sollicitant du Tribunal, la Condamnation de la SGCI Ă  reverser au Renadvidet-CI les 629 milliards de F CFA destinĂ©s aux 11. 189 victimes, membres de leur association restant Ă  indemniser Ă  la SGCI et cela, avec des intĂ©rĂȘts de retard depuis le 24 septembre 2009, date du transfert de leur indemnisation dans les livres de cette banque. Elles ont Ă©galement sollicitĂ© la condamnation solidaire de cette banque Ă  leur payer avec le Cabinet LEIGH DAY & CO, la somme de milliards de F CFA Ă  titre de dommages et intĂ©rĂȘts pour toute cause de prĂ©judices confondus. Le 2 juin 2022, le Tribunal d’Abidjan, par jugement n°454 fait curieusement abstraction de la SGCI en condamnant le Cabinet Leigh Day & Co basĂ© Ă  Londres Ă  reverser au Renadvidet-CI, la somme trois milliards six cent treize millions huit cent soixante-huit mille cent quatre-vingt-dix-neuf 3. 613. 868. 199 F CFA constituant le solde rĂ©siduel de leur compte logĂ© depuis le 24 septembre 2009 dans les livres de la SGCI sans aucun intĂ©rĂȘt de droit encore moins de dommages et intĂ©rĂȘts, car, l’indemnisation dont s’agit devait prendre en avril 2010. Pour Ă©tayer sa dĂ©cision, il a fait valoir ce suit 
 Attendu cependant que la mission de l’Expert Ă©tait principalement de dĂ©terminer le nombre des victimes restant Ă  indemniser et l’existence de fonds sur le compte dĂ©diĂ© Ă  cette fin, ouvert dans les livres de la SGCI ; Qu’en portant une apprĂ©ciation sur la rĂ©gularitĂ© de certaines opĂ©rations inscrites sur ce compte pour conclure que celles-ci Ă©taient injustifiĂ©es et devaient ĂȘtre par consĂ©quent restituĂ©s, l’Expert est allĂ© au-delĂ  de la mission Ă  lui impartie ; Qu’il y a lieu de retenir comme solde rĂ©siduel du compte ouvert par le Cabinet Leigh Day & Co, la somme de 3. 613. 868. 199 francs susmentionnĂ©e, correspondant Ă  l’indemnisation des victimes non encore prises en compte, et ordonner son reversement aux demandeurs, mandants dudit cabinet ». Qu’en s’en tenant Ă  cette argumentation, exception faite des dĂ©penses injustifiĂ©es d’un montant de 961. 606. 101 F CFA dont la SGCI ne justifie pas du bien-fondĂ© de la rĂ©tention, parce que faisant partie de l’indemnisation des victimes, leur compte devrait Ă  ce jour abriter comme solde rĂ©siduel la somme de Huit milliards cent trente-quatre millions quatre cent trois mille F CFA sans prĂ©judice des intĂ©rĂȘts de droit depuis le 24 septembre 2009, soit 3. 667. 715. 000 + 4. 466. ; Cette derniĂšre somme reprĂ©sentant l’indemnisation des 6. 144 victimes fictives indemnisĂ©es par la SGCI sur la liste brute des 17. 955 victimes issues du dĂ©pouillement des 34 cartons contenant des chĂšques SGCI communiquĂ©s par elle audit Expert. Le montant rĂ©el du solde trouvĂ© par l’Expert est indiquĂ© dans la quatriĂšme colonne du premier tableau dudit rapport Ă  la page 54. Ce montant rĂ©sulte de la diffĂ©rence entre 17. 955 liste brute des victimes moins, 23 mille victimes dĂ©clarĂ©es par la SGCI avoir indemnisĂ©es, soit X 727. 000 F CFA. Les victimes font remarquer que les banques en gĂ©nĂ©ral, et la SGCI, filiale de la GĂ©nĂ©rale, banque française en particulier bĂ©nĂ©ficierait d’une hyper protection de la part des autoritĂ©s politiques et judiciaires allant-mĂȘme Ă  une immunitĂ© d’exĂ©cution. Toute chose qui les encourage Ă  faire tout et n’importe quoi en toute impunitĂ©. C’est pourquoi, elles ont saisi des organisations internationales des droits de l’homme, Ă  l’effet d’initier devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, une action correctionnelle contre monsieur Bernard Labaden, au moment des faits, Directeur GĂ©nĂ©ral de la SGCI pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs, faux en Ă©criture privĂ©e de banque, abus de confiance portant sur des numĂ©raires, blanchiment de capitaux et financement de terrorisme
 Les victimes ivoiriennes des dĂ©chets toxiques du Probo Koala prĂ©voient une citation correctionnelle contre la SGCI Ă  la rentrĂ©e judiciaire prochaine relativement aux mĂȘmes infractions. Elles font observer que, le fait pour la SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale CĂŽte d’Ivoire d’avoir communiquĂ© Ă  l’Expert Judiciaire des relevĂ©s de compte affichant un solde de 0 F CFA’’ Ă  la date du 30 aoĂ»t 2010 dans le but de se soustraire au paiement de la somme minimale de 3. 613. 868. 199 F CFA Ă  laquelle le cabinet LEIGH DAY & CO a Ă©tĂ© condamnĂ© par le Tribunal Ă  reverser au RENADVIDET-CI relĂšve d’un faux grossier en Ă©criture privĂ©e de banque et pour cause L’indemnisation en cause a Ă©tĂ© dĂ©finitivement arrĂȘtĂ©e le 19 mars 2010. Il ressort de l’examen des piĂšces communiquĂ©es par la SGCI aux victimes suite Ă  ses exĂ©cutions partielles des ordonnances de rĂ©fĂ©rĂ©s N°1979/2018, 3340/18 en date du 05 juillet 2018 et de l’arrĂȘt civil N°464 du 19 juillet 2019, 12. 736 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par la SGCI et un solde de 4. 294. 507. 321 F CFA Ă  la date du 31 mars 2010 », expliquent-elles. Il ressort de ces mĂȘmes documents bancaires issus des travaux l’Expert indĂ©pendant commis par les victimes, une liste brute de 17. 228 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par la SGCI du 1er au 21 mars 2010 et une solde 4. 294. 507. 321 F CFA Ă  la date du 31 mars 2010 ; De l’expertise judiciaire, il ressort une liste brute de 17. 955 victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es par cette banque. Et mĂȘme sa propre dĂ©claration en date du 23 mars 2010 sur l’ordonnance de sĂ©questre des victimes, Ă  savoir qu’elle a indemnisĂ© 12 mille victimes sur les indemnisables un aveu directe de dĂ©tenir l’indemnisation d’un peu plus de 17 mille dont celle de irrĂ©guliĂšrement transfĂ©rĂ©e par elle Ă  Afriland First Bank le 24 mars 2010. Tous les rĂ©sultats de ces Experts sur le nombre brute de victimes supposĂ©es avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©s par elle, sont quasiment les mĂȘmes, soit au moins 17 mille victimes. Dans ces conditions, les relevĂ©s de compte de la SGCI ne peuvent pas afficher un solde de 0 F CFA. Ainsi, exception faite de l’indemnisation par la SGCI de 6. 144 victimes fictives pour un montant de 4. 466. 688. 000 F CFA Ă  raison de F CFA chacune et un peu plus Ă  raison de F CFA conventionnellement prĂ©vus comme indemnisation qui devait ĂȘtre due Ă  chacune des victimes, le solde rĂ©siduel de leur compte devait ĂȘtre de quatre milliards six cent vingt-neuf millions trois cent vingt et un mille cent un 4. 629. 321. 101 F CFA, soit 3. 667. 715. 000 ; somme due aux victimes non indemnisĂ©es Ă  ce jour X F sur les 23. 000 dĂ©clarĂ©es par la SGCI avoir Ă©tĂ© indemnisĂ©es et les dĂ©penses injustifiĂ©es d’un montant 961. 606. 101 F CFA procĂ©dant de leur indemnisation. Une action correctionnelle est envisagĂ©e par les victimes Ă  Paris contre monsieur Bernard Labaden, ex directeur gĂ©nĂ©ral de la SGCI et devant le tribunal correctionnel d’Abidjan contre la SGCI par les victimes du RĂ©seau National pour la DĂ©fense des Victimes des DĂ©chets Toxiques de CĂŽte d’Ivoire. Pour faux et usage de faux commis dans des documents administratifs, faux en Ă©criture privĂ©e de banque, abus de confiance portant sur des numĂ©raires, blanchiment de capitaux et financement de terrorisme. Dans ce dossier, les responsables de la SGCI, Ă  Abidjan contactĂ©s n’ont pas encore rĂ©agi. C’est dire qu’il continue. HERVE MAKRE © 2022, https. All rights reserved. Affaire conclue la vie des objets nous contacter aide et contact contactez-nous par tĂ©lĂ©phone, courrier, email ou facebook. du lundi au vendredi de 09h00 Ă  18h00. TĂ©lĂ©charger l'application France tv PubliĂ©25 janvier 2022, 0648JuraSes skis font une bonne Affaire conclue»Les animateurs de l’émission de brocante diffusĂ©e sur France 2 ne pouvaient pas passer Ă  cĂŽtĂ© de la collection de Laurent DonzĂ©. Diffusion ce / 37Laurent DonzĂ© Ă  g. avec Sophie Davant et Harold Hessel, animateurs d’Affaire conclue».DR/Monique GerberLa collection de skis se niche derriĂšre une façade blanche, au cƓur des DonzĂ©Sur le chemin enneigĂ©, on croise de drĂŽles de traces d’oiseaux
 DonzĂ©Il y avait de la neige devant la ferme de Laurent DonzĂ© et c’est tant mieux il y a dix jours, Ă  1000 mĂštres d’altitude, les deux animateurs de l’émission Affaire conclue» sur France 2» sont arrivĂ©s chez ce collectionneur Ă  skis de fond, aprĂšs avoir skiĂ© juste ce qu’il faut pour un plan sĂ©quence
Ils voulaient des raquettes mais je leur ai fait remarquer que c’est l’outil qui glisse le moins
 En Ă©change, je leur ai damĂ© deux pistes de ski de fond jusqu’au bout du jardin», rigole l’homme aux 3000 paires de minutesLe reportage de douze minutes tournĂ© aux Bois est programmĂ© pour ce soir 23 h 35, Ă  l’issue du prime time 21 h 10. Sophie Davant et Harold Hessel diront tout le bien qu’ils pensent de leur escapade jurassienne, cĂŽtĂ© suisse, avec une Ă©quipe de sept techniciens venus tout droit de Paris, dont le producteur Tristan BarrĂ©, associĂ© Ă  Warner Bros France.C’est un survol plus divertissant que scientifique», prĂ©vient le collectionneur en se prĂ©parant Ă  fĂȘter ses 68 ans le lendemain de l’émission, aprĂšs une semaine blanche Ă  Crans-Montana VS. En contradiction avec le slogan de l’émission, Laurent DonzĂ© n’a pas quelque chose Ă  vendre mais Ă  prĂ©senter.TrĂšs esthĂ©tique»Chez Laurent DonzĂ©, les deux animateurs français n’ont pas fait que passer des lattes en revue ils se sont arrĂȘtĂ©s Ă  chaque anecdote racontĂ©e par le collectionneur. C’est tout l’histoire du ski qui dĂ©file dans sa grange agrandie. Harold Hessel a trouvĂ© cette collection trĂšs esthĂ©tique» et Sophie Davant a craquĂ© pour une ancienne chaussure en ski de fond, Laurent DonzĂ© l’a pratiquĂ© depuis son enfance pour se rendre Ă  l’école. Il a pratiquĂ© la compĂ©tition au ski-club, mais c’est dans son habit de chimiste qu’il a suivi l’évolution des lattes en bois, en fonte, en fibres
 Ses skis, il les a amassĂ©s dĂšs l’ñge de 20 ans en parcourant les brocantes, en y ajoutant des cartes postales et des ouvrages lattesDans le sillage d’une paire de skis 1885, 200 marques sont reprĂ©sentĂ©es Ă  cheval sur la date charniĂšre de 1924, lorsque la glisse, le fond et le saut n’ont plus Ă©tĂ© pratiquĂ©s avec les mĂȘmes lattes. La collection de ce professeur de chimie retraitĂ© a Ă©tĂ© vue par des visiteurs de partout, dont l’ancien conseiller fĂ©dĂ©ral Adolf DonzĂ© est passĂ© l’an dernier au 13 h» de TF1, mais la visibilitĂ© offerte par France 2 servira de tremplin au projet de musĂ©e imaginĂ© dans l’ancienne gare du BoĂ©chet, rĂ©novĂ©e Ă  son intention par un couple d’industriels jurassiens. maison & bien-ĂȘtre 7 min tous publics Table 70's, jeu de l'oie ancien, affiches de la PremiĂšre Guerre mondiale retour sur l'histoire d'un objet emblĂ©matique de l'Ă©mission, acquis par un des acheteurs. nous contacter aide et contact contactez-nous par tĂ©lĂ©phone, courrier, email ou facebook. du lundi au vendredi de 09h00 Ă  18h00. TĂ©lĂ©charger l'application France tv

affaire conclue du 25 janvier 2022