CdiscountLibrairie - Découvrez notre offre Contes et légendes de Bretagne. Tome 2, Les récits. Livraison gratuite* | Paiement sécurisé | 4x possible | Retour simple et rapide Votre navigateur internet n’est plus supporté par notre site. Afin de bénéficier d’une navigation optimale, merci de mettre à jour votre navigateur.
Lundimatin, les élèves de cycle 2 de l'école Éric-Tabarly sont partis pour une semaine en classe découverte au centre des Landes de Monteneuf, non
Légendesdu bois des Roches. Puis, le soir, dans le cadre du cycle de ses visites nocturnes estivales, le Pays d’art et d’histoire du Clos du
Conteset légendes de Bretagne (Tome 2, Les bienheureux ; L'Enfer et les démons ; les revenants ; les suppôts du diable) - Cadic, François et des millions de romans en livraison rapide Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer vos
CONTESDE PRINCES ET CHEVALIERS, Nouveaux contes de Bretagne . Autrefois, il y avait en Bretagne plein de petits royaumes, avec des petits rois, des petits princes et des chevaliers parfois petits, parfois grands. Et certains étaient vraiment très bizarres. Le prince Trouille-les-Pétoches, par exemple, ou le chevalier qui ne savait pas lire, ou le prince le plus paresseux,
Lesuperbe livre “le tour du monde des contes” des éditions Syros propose 4 contes et ses versions détournées selon d’autres cultures du monde. Les élèves compareront les 2 versions, découvriront des nouveaux pays, de
UCgrQg. Ce deuxième recueil de Contes et Légendes qui diffère complètement du premier par les sujets et les commentaires, n'aura pas épuisé la matière,... Lire la suite 9,99 € E-book - Multi-format Ebook Téléchargement immédiat 9,99 € Grand format Expédié sous 6 à 12 jours 17,50 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants Téléchargement immédiat Dès validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Ce deuxième recueil de Contes et Légendes qui diffère complètement du premier par les sujets et les commentaires, n'aura pas épuisé la matière, tant s'en faut. [...] La terre des Chevaliers de la Table ronde et de Roland restera longtemps le domaine du merveilleux. On ne lui enlèvera pas sa physionomie étrange, son originalité saisissante, sa nature tourmentée, et ses habitants auront beau changer d'habitudes, ils garderont au fond de leur âme un petit coin de ciel bleu où ils aimeront à se réfugier aux heures d'énervement, de lassitude et de nostalgie, et où ils entendront chanter la voix enchanteresse des fées. N'y aurait-il plus place dans le monde que pour l'uniformité et la banalité, filles du progrès moderne ; la poésie et le rêve seraient-ils bannis de partout qu'ils trouveraient ici un asile sûr, à l'abri de barrières protectrices. Sauvegardée par une langue qui prétend vivre ; en dépit de la guerre sourde ou déclarée que mènent contre elle des gouvernements à courtes vues et des intelligences bornées, la légende ne saurait interrompre le cours de ses gracieuses fictions. Il suffira d'aller glaner aux bons endroits pour récolter à pleines gerbes. Je les ai cherchés d'abord dans mon pays natal du haut Morbihan, parmi les paysans de l'Argoet ; puis je suis descendu parmi les marins de l'Arvor. J'ai étendu mes investigations jusque chez les Bretons-Gallos, chez les Cornouaillais, les Léonards et les Trégorois, et à mesure que je m'en allais engrangeant, il me semblait que les épis se multipliaient davantage... » extrait de la Préface, édition originale de 1919. Les Contes & légendes de Bretagne 1914, 1919, 1922 et les Nouveaux Contes & légendes de Bretagne 1922, 1925, sans compter les onze fascicules qui les précèdent, publiés entre 1903 et 1914 et partiellement repris dans les Contes et Nouveaux Contes, font l'objet de cette nouvelle édition, entièrement recomposée qui comprendra 6 tomes. François Cadic, 1864-1929, né à Noyal-Pontivy Morbihan, prêtre, professeur d'histoire, écrivain et folkloriste qui a consacré toute sa vie à recueillir contes, légendes et chansons de Bretagne. Il crée, en 1897, l'association la Paroisse bretonne de Paris et rapidement le journal du même nom où seront publiés, initialement, la plupart des contes et légendes de Bretagne. Avec François-Marie Luzel, il est aujourd'hui considéré comme un des collecteurs majeurs de la littérature orale de la Basse-Bretagne. Date de parution 03/01/2020 Editeur Collection ISBN 978-2-8240-5346-2 EAN 9782824053462 Format Multi-format Nb. de pages 200 pages Caractéristiques du format Multi-format Pages 200 Caractéristiques du format Streaming Protection num. pas de protection Caractéristiques du format PDF Protection num. pas de protection Caractéristiques du format ePub Protection num. pas de protection Caractéristiques du format Mobipocket Protection num. pas de protection Biographie de François Cadic C'est en hommage à ce peuple et à cette terre dont il était issu que François Cadic 1864-1929 a collecté les légendes que vous allez découvrir, longeant pour ce faire le Blavet, au cour de son Morbihan natal, et faisant une pointe jusqu'en Cornouaille. Prêtre et historien, titulaire en 1897 de la chaire d'histoire de l'Institut catholique de Paris, fondateur de La Paroisse bretonne de Paris », il publia de nombreux contes et légendes de sa province dans le journal de cette association d'entraide, et est aujourd'hui considéré comme l'un des principaux passeurs de la mémoire bretonne au début du XXe siècle. Ce recueil, paru pour la première fois en 1904, est enrichi des commentaires explicatifs de l'auteur, très instructifs, où perce sa passion pour sa région et ses habitants.
" Sous l'enveloppe du merveilleux dont elles se revêtent, écrit François Cadic, si les légendes ne cachent pas une vérité, elles offrent un intérêt... Lire la suite 19,06 € Neuf Actuellement indisponible " Sous l'enveloppe du merveilleux dont elles se revêtent, écrit François Cadic, si les légendes ne cachent pas une vérité, elles offrent un intérêt ou une leçon. Elles sont pour le peuple une distraction agréable et un enchantement de l'esprit ; à sa curiosité innée et son désir de connaître le fin mot des choses, elles donnent une explication de tout. Il s'en dégage d'ordinaire une moralité qui n'est pas toujours de la haute vertu, mais qui n'en reste pas moins saine. Enfin si elles jouent à plaisir de l'imagination et de naïfs et amusants mensonges, il n'est pas rare qu'elles aient pour base une première donnée véridique qui se serait perdue, si elles n'avaient été là pour la recueillir. Le passé, dit-on, ne meurt pas tout à fait- c'est une loi de l'histoire. La légende le prouve avec évidence. Suppléante en quelque sorte de l'histoire et nourrie des miettes de sa table, elle conserve les vestiges des anciens âges dont celle-ci a perdu le souvenir. " Auxiliaire naturelle de l'historien - et du prêtre -, la légende occupe donc pour François Cadic une place prépondérante au sein de la littérature orale. Le présent volume en est une belle illustration, réunissant des récits étiologiques, qui s'attachent à fournir une explication quant à l'origine de divers éléments composant notre environnement, des récits édifiants et moralisants qui se veulent autant d'exemples et de leçons, et des récits du temps de la Révolution où la frontière entre histoire et légende n'est déjà plus très franche. Date de parution 23/02/2001 Editeur ISBN 2-84362-108-9 EAN 9782843621086 Format Grand Format Présentation Broché Nb. de pages 419 pages Poids Kg Dimensions 13,0 cm × 20,0 cm × 3,5 cm Biographie de François Cadic Né à Noyal-Pontivy en 1864, François Cadic a fait ses études au Petit Séminaire de Sainte-Anne d'Auray, puis à l'institut Catholique de Paris, où il obtient une licence d'histoire. Ordonné prêtre en 1889, il fonde en 1897 l'œuvre de la Paroisse Bretonne de Paris, dont il restera le directeur jusqu'à sa mort en 1929. Totalement dévoué au service des Bretons de la capitale, dont il sera le "recteur", c'est d'abord pour eux qu'il recueille et publie des contes et des chansons. D'une inlassable activité, ce pionnier de " l'action humanitaire " comme on dirait aujourd'hui, fut un homme de conviction au caractère indépendant.
L'histoire L'Air et la Terre avaient une fille Écho. Cette charmante nymphe vivait dans les bois aux côtés de la déesse Artémis. Elle allait de rivières en torrents ; les arbres lui servaient de toit, la mousse et les jeunes pousses de lit. Elle ne connaissait ni tourment ni ennui. Un jour qu'elle babillait avec les autres nymphes, Écho fut accusée pas la grande déesse Héra d'aimer son époux infidèle. C'était une injustice, mais Héra, aveuglée par la colère, refusa d'écouter Écho, qui l'implorait. Tu veux donc avoir le dernier mot ! », clama la déesse, folle de rage. Son châtiment ne tarda guère bientôt, la nymphe devint incapable de parler. Ni phrase ni rire ne sortait plus de sa bouche. Elle répétait seulement les derniers mots qu'elle entendait. Écho était au désespoir. Cette punition était d'autant plus cruelle que notre jolie nymphe tomba éperdument amoureuse… Écho aimait Narcisse. Ce garçon était tellement plaisant que toutes les nymphes et toutes les jeunes filles espéraient recevoir de sa part un baiser. Mais le jeune homme était indifférent aux beautés qu'il croisait. Et jamais il ne sentait la présence d'Écho, qui le suivait pourtant aussi fidèlement que son ombre. La nymphe l'observait sans pouvoir lui parler, avec l'espoir pourtant d'en être un jour aimée. Un beau matin, elle tenta toutefois de se faire remarquer. Narcisse, à la recherche de ses amis, appelait Êtes-vous ici ? Y a-t-il quelqu'un par ici ? », et Écho lui répondait de sa jolie voix Ici, ici, ici… ». Narcisse lui demanda alors de venir et Écho, le cœur battant, apparut au jeune celui-ci s'en détourna immédiatement. Et sans la regarder, il cria Jamais, jamais… Penses-tu qu'un jour il se pourrait que je te donne pouvoir sur moi ? » Et la voix de la nymphe, entrecoupée de larmes, répéta, suppliante Je te donne pouvoir sur moi. » Mais déjà , Narcisse s'éloignait. Méprisée par celui qu'elle aimait, Écho s'enfuit à travers bois, jusqu'à trouver une grotte dans laquelle elle voulut cacher sa honte et son par le chagrin sincère de la nymphe, la déesse Némésis se résolut à la venger… Narcisse se promenait comme à son habitude, lorsqu'il fut soudain pris d'une soif terrible. Il se laissa alors guider par Némésis jusqu'à une fontaine et il s'y pencha pour prendre une gorgée d'eau. Lorsqu'il vit son propre reflet, Narcisse en tomba amoureux. Dès lors, il ne cessa plus de contempler son beau visage dans l'eau limpide. Il se désespérait de ne pouvoir ni toucher ni aimer cette image, et il n'arrivait pas à s'en éloigner. Sa douleur était si grande qu'il appelait la mort, espérant ainsi se libérer d'un amour impossible. Hélas, gémissait-il, je comprends bien maintenant toute la peine que j'ai causée à ces jeunes filles ! » Le temps s'écoulait et, progressivement, les pieds de Narcisse se changeaient en racines, son corps en tige, et sans qu'il s'en aperçût, le jeune homme se transforma en une jolie fleur, qui porte encore son folie de Narcisse n'avait pas apaisé la douleur d'Écho. Elle continuait à veiller sur lui. Et lorsque Narcisse dit adieu à son propre reflet, Écho répéta doucement, tristement Adieu… » Aujourd'hui, la nymphe a tant maigri qu'il ne reste que sa voix. Et, du fond de sa caverne, Écho répète encore les derniers mots des paroles qui lui sont adressées. , Mythes et légendes, ill. Thomas Tessier, Circonflexe Découvrir La légende de Narcisse et ÉchoNarcisse et Écho est une légende très connue de la mythologie héros est à l'origine de la fleur qui porte son nom. Le narcisse est une plante à bulbe qui fleurit en mars et en avril. Selon l'espèce, ses fleurs sont blanches ou jaunes. Malgré sa beauté, le narcisse est une plante très nom Narcisse a également donné naissance à l'adjectif narcissique » qui qualifie une personne vaniteuse et égoïste, qui n'aime qu'elle-même. Le jeu Écouter l'histoire L'Air et la Terre avaient une fille Écho. Cette charmante nymphe vivait dans les bois aux côtés de la déesse Artémis. Elle allait de rivières en torrents ; les arbres lui servaient de toit, la mousse et les jeunes pousses de lit. Elle ne connaissait ni tourment ni ennui. Un jour qu'elle babillait avec les autres nymphes, Écho fut accusée pas la grande déesse Héra d'aimer son époux infidèle. C'était une injustice, mais Héra, aveuglée par la colère, refusa d'écouter Écho, qui l'implorait. Tu veux donc avoir le dernier mot ! », clama la déesse, folle de rage. Son châtiment ne tarda guère bientôt, la nymphe devint incapable de parler. Ni phrase ni rire ne sortait plus de sa bouche. Elle répétait seulement les derniers mots qu'elle entendait. Écho était au désespoir. Cette punition était d'autant plus cruelle que notre jolie nymphe tomba éperdument amoureuse… Écho aimait Narcisse. Ce garçon était tellement plaisant que toutes les nymphes et toutes les jeunes filles espéraient recevoir de sa part un baiser. Mais le jeune homme était indifférent aux beautés qu'il croisait. Et jamais il ne sentait la présence d'Écho, qui le suivait pourtant aussi fidèlement que son ombre. La nymphe l'observait sans pouvoir lui parler, avec l'espoir pourtant d'en être un jour aimée. Un beau matin, elle tenta toutefois de se faire remarquer. Narcisse, à la recherche de ses amis, appelait Êtes-vous ici ? Y a-t-il quelqu'un par ici ? », et Écho lui répondait de sa jolie voix Ici, ici, ici… ». Narcisse lui demanda alors de venir et Écho, le cœur battant, apparut au jeune celui-ci s'en détourna immédiatement. Et sans la regarder, il cria Jamais, jamais… Penses-tu qu'un jour il se pourrait que je te donne pouvoir sur moi ? » Et la voix de la nymphe, entrecoupée de larmes, répéta, suppliante Je te donne pouvoir sur moi. » Mais déjà , Narcisse s'éloignait. Méprisée par celui qu'elle aimait, Écho s'enfuit à travers bois, jusqu'à trouver une grotte dans laquelle elle voulut cacher sa honte et son par le chagrin sincère de la nymphe, la déesse Némésis se résolut à la venger… Narcisse se promenait comme à son habitude, lorsqu'il fut soudain pris d'une soif terrible. Il se laissa alors guider par Némésis jusqu'à une fontaine et il s'y pencha pour prendre une gorgée d'eau. Lorsqu'il vit son propre reflet, Narcisse en tomba amoureux. Dès lors, il ne cessa plus de contempler son beau visage dans l'eau limpide. Il se désespérait de ne pouvoir ni toucher ni aimer cette image, et il n'arrivait pas à s'en éloigner. Sa douleur était si grande qu'il appelait la mort, espérant ainsi se libérer d'un amour impossible. Hélas, gémissait-il, je comprends bien maintenant toute la peine que j'ai causée à ces jeunes filles ! » Le temps s'écoulait et, progressivement, les pieds de Narcisse se changeaient en racines, son corps en tige, et sans qu'il s'en aperçût, le jeune homme se transforma en une jolie fleur, qui porte encore son folie de Narcisse n'avait pas apaisé la douleur d'Écho. Elle continuait à veiller sur lui. Et lorsque Narcisse dit adieu à son propre reflet, Écho répéta doucement, tristement Adieu… » Aujourd'hui, la nymphe a tant maigri qu'il ne reste que sa voix. Et, du fond de sa caverne, Écho répète encore les derniers mots des paroles qui lui sont adressées.
Description Contes et légendes de BretagneGlaneur de contes et de légendes, François Cadic fut un dénicheur de trésors et ceux qu'il nous retranscrit aujourd'hui, issus d'une tradition orale millénaire, composent un extraordinaire florilège. Dans la campagne bretonne, le tailleur, le meunier, le berger étaient autant de conteurs inspirés à la mémoire fidèle et à l'imagination féconde. Chacun d'eux nous lègue ici une part du mystère des landes et des forêts de ce vieille femme aux allures de sorcière, que le paysan ramène dans sa charrette, c'est la peste qui va décimer les populations. La ronde des damnés s'acharne sur le tailleur de Pluméliau, tandis que les ailes du moulin tournent sous un souffle démoniaque. Le diable est parfois tenu en échec, mais par les nuits noires rôde toujours le cavalier infernal, et s'étend l'ombre maléfique du marquis de soirs de tempête, Noun, le naufrageur, sent couler dans ses veines le sang des pilleurs d'épaves dans la baie des Trépassés. L'ermite, le damné, le revenant, tous sont au rendez-vous du légendaire breton. Vingt contes, cruels ou tendres, chacun d'eux assorti d'un commentaire explicatif, deux inédits, et une bouleversante histoire vraie vécue par l'auteur sont au sommaire de cet ouvrage d' rêver et frémir, et pour s'émerveiller. En lire plus Auteur François cadic Editions Editions l'ancre de marine Année 2000 Reliure Broché ISBN 9782841411467 Options de livraison Plusieurs options de livraison vous seront proposées lors de la finalisation de votre achat selon le vendeur que vous aurez sélectionné. La plus grande librairie solidaire en ligne Dans la librairie de Label Emmaüs, vous avez à disposition plus d'un million d'ouvrages, sélectionnés et triés avec soin par des salariés en parcours d'insertion professionnelle. 100% des livres sont d'occasion ! À chaque livre que vous achetez, vous contribuez au réemploi et à l'insertion professionnelle. Vous favorisez aussi l'accès à la culture pour toutes et tous. Les Garanties Label Emmaüs Paiement sécurisé Label Emmaüs vous procure une expérience d’achat en ligne sécurisée grâce à la technologie Hipay et aux protocoles 3D Secure et SSL. Satisfait ou remboursé Nous nous engageons à vous rembourser tout objet qui ne vous satisferait pas dans un délai de 14 jours à compter de la réception de votre commande. 2 autres livres à partir de 3,90€ VOIR Ça va vous plaire Voici une sélection de produits similaires Contes et légendes de Bretagne est dans votre panier ! Contes et légendes de Bretagne est dans votre panier ! Contes et légendes de Bretagne est dans votre panier ! CHINEZ MALIN ! Continuez vos achats chez Book Hémisphères pour optimiser vos frais de port.
Le roi Arthur est le héros de nombreuses légendes arthuriennes et de romans de chevalerie depuis le moyen-âge. Roi Arthur par Innocenti Chef militaire des Bretons Britons, il lutta contre l'envahisseur saxon vers l'an 500. Devenu légendaire, il représente le roi idéal venu rétablir dans leur puissance les Bretons divisés. Chantée par les bardes gallois puis par divers auteurs de chroniques Nennius, Geoffrey de Monmouth, sa geste fut développée par Wace puis par Chrétien de Troyes qui en fit un portrait moins avantageux que celui de la légende. Le cycle romanesque qui s'achève avec le célèbre roman "La Mort le roi Arthur" 1215/1235 a largement contribué à diffuser l'image traditionnelle du roi Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Arthur est le fils du roi Uther Pendragon et de la duchesse Ygraine de Cornouailles. Sa mère avait été mariée une première fois à Gorlois, duc de Cornouailles et un de ses fidèles alliés. Uther en tomba amoureux dès qu'il la vit et lui fit porter de magnifiques bijoux par Urfin. Quand elle comprit le but de ces présents la vertueuse Ygraine les refusa et menaça Urfin de tout raconter à son mari si par malheur il revenait. Fou d'amour Uther consulta le magicien Merlin qui accepta de lui rendre service à condition que l'enfant qui naitrait de cette union lui soit confié. Merlin donna à Uther l'apparence du duc et partagea la couche d'Ygraine sans qu'elle ne se doute de rien. Pendant cette même nuit le duc fut tué dans une escarmouche hors de son château. Quelques temps après Uther épousa alors Ygraine. ❖ Arthur, le roi Merlin emportant Arthur par WEYTH Quelques mois plus tard la reine accoucha d'un fils qui sera confié dès sa naissance à Merlin selon le pacte qui avait été conclu. Merlin quitte immédiatement le château pour aller donner le bébé à Ectorius connu aussi sous les noms d'Antor, Auctor ou Hector et à dame Flavilla, vassaux loyaux qui l'élèvent avec leur fils Keu mais en ignorant totalement son origine. Avant de partir il leur dit seulement de le nommer Arthur et de lui apprendre le métier des armes. Alors âgé de 15 ans, le jeune écuyer alla à Winchester avec sa famille d'adoption pour assister à un tournoi qui avait réuni les meilleurs princes et nobles venus pour participer à la succession d'Uther. Par malheur Arthur avait oublié l'épée de son seigneur. Comme un fou il cherche à s'en procurer une quand il voit une épée figée dans une enclume elle même fixée dans un rocher. Il se dit alors que s'il pouvait prendre cette épée, il la porterait à son frère. Sans descendre de cheval, il la saisit par la garde et l'emporta, dissimulée sous un pan de sa tunique. Lorsque son frère qui l'attendait en dehors de la ville l'aperçut, il alla à sa rencontre pour lui demander son épée. Arthur lui expliqua qu'il n'avait pu la trouver mais qu'il lui en apportait une autre et il sortit l'épée de dessous sa tunique en lui disant que c'était l'épée du perron. Keu la prit aussitôt, la dissimula sous un pan de sa tunique et partit à la recherche de son père pour lui dire qu'il serait roi puisqu'il avait l'épée. Austor ne le crut pas et Keu préféra avouer la vérité. Arthur retire l'épée Arthur remit l'épée en place et la retira à nouveau sans effort. Alors Auctor lui révéla qu'il n'était pas son père. Il lui expliqua alors tout ce qu'il avait fait pour lui et comment sa femme l'avait allaité en sevrant son propre fils et en confiant celui-ci à une nourrice à gages. Il lui demanda donc de faire quelque chose pour son fils s'il avait la grâce d'être roi et qu'il l'aiderait pour y parvenir. La rumeur se propagea rapidement un simple écuyer avait retiré l'épée c'était lui le nouveau roi comme l'indiquait la phrase gravée en lettres d'or sur sa garde. Une partie des nobles, Auctor en tête, fit aussitôt allégeance au jeune homme, mais un grand nombre de barons et même le peuple refusèrent de le reconnaitre comme leur nouveau roi jugeant qu'il était trop jeune pour une telle charge. A ce moment Merlin arrive et explique les origines royales d'Arthur. Même avec l'appui de Merlin, le tout jeune roi eut du mal à asseoir son pouvoir à cause de la rébellion de certains seigneurs qui ne reconnaissaient pas sa légitimité. Selon l'historien Nennius le roi en tant que chef de guerre livra douze batailles Il livra la bataille de Bedwayne avec l'aide des armées de français amenées par Ban et Bohort De plus il eut à lutter contre les envahisseurs Saxons Bataille du mont Bodon et celle de Caledon Wood et Irlandais qui menaçaient l'intégrité du territoire. Avec son fidèle allié, Hoel, il combattit aussi les romains à la bataille de Paris. ❖ Amours Si Guenièvre est la femme qui occupe principalement le coeur du roi Arthur, d'autres femmes apparaissent dans les récits et ont su capter le coeur du roi. Mariage d'Arthur et de Guenièvre par Lancelot SPEED Arthur épousa Guenièvre, fille de Léodagan, et il aurait eu un fils, Lohot, qui avait quitté la cour pour chercher l’aventure. Mais Lohot avait une étrange manie lorsqu’il tuait un homme, il s’endormait aussitôt sur sa dépouille. C'est ainsi qu'il s'endormit sur le cadavre du géant Logrin qu'il venait de tuer. Keu qui voulait rapporter la tête du géant à son roi, le tua accidentellement. • Dans Lancelot, Arthur alla combattre en Ecosse les envahisseurs Saxons et Irlandais. Il fit la connaissance de la belle Camille, une enchanteresse d'origine saxonne dont tout le savoir venait d'un livre magique. Elle refusa son amour ce qui ne fit qu'augmenter le désir du roi. Sachant qu'elle le regarde du haut de la tour Arthur se surpasse pendant la bataille. A la fin du combat elle vient vers lui et l'invita à partager sa couche. Arthur accepte l'invitation en précisant qu'il viendra s'il peut faire avec elle ce que ferait un chevalier avec son amoureuse. Le soir venu, Arthur accompagné de Guerrehés vient partager le lit de Camille et le frère de Gauvain celui d'une demoiselle. Mais pendant la nuit quarante chevaliers font irruption dans la chambre et capturent les deux hommes. Camille ne s'en tient pas là puisqu'elle réussit à faire capturer Lancelot, Galehaut Gauvain et Lancelot. Heureusement le roi Yver parvient à les libérer. • L'autre femme qui émue le roi fut la fausse Guenièvre. Une femme qui prétend que la reine est une usurpatrice et qu'elle-même est l'épouse légitime du roi. Il se laisse séduire et condamne la vraie Guenièvre à la honte et au bannissement. Cependant, la santé du roi et du royaume ne cesse de décliner, et la fausse Guenièvre est obligée d'avouer la supercherie. Lancelot doit insister pour que la reine reprenne sa place auprès d'Arthur page 2
contes et légendes de bretagne cycle 2