Poursuitesur les toits de Paris, marche sur le toit d'un métro en mouvement, Belmondo s'affiche plus que jamais comme un homologue français de Jackie Chan ou de Buster Keaton, et demeure l'un des très, très rares comédiens de l'histoire du cinéma mondial à avoir pris autant de risques. () le film de Verneuil demeure aujourd'hui un classique absolu du policier d'action français."
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Afficherla recherche. Se connecter Se connecter. ARTE en 6 langues FR ARTE en 6 langues. Français (FR) Deutsch (DE) English (EN) Español (ES) Polski (PL) Italiano (IT) Loading. Péril sur la ville. La vie en face. Lecture automatique. Voir tout. Les voix croisées. Sacrifice paysan. Naître d'une autre. Enfants du hasard . 55 min. Grandir avec le coeur d'un
Affichedu film « PEUR SUR LA VILLE » Référence : CAC0197. Cette affiche de film est momentanément indisponible. État : Nouveau produit. 49,00€ Ajouter au panier. En savoir plus; Description / Détails de l'affiche du film : Acteurs :
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Morricone - Peur Sur La Ville (Bande Originale Du Film) (LP, Album) Label: WEA Filipacchi Music, Warner Bros. Records Cat N°: 56 135 État média: Média: Very Good (VG) Noticeable groove wear and light scratches. Surface noise will not overpower the music.
BlopiEM. Aperçu des critiques de la presse Internet sortie vod, dvd et blu-ray Peur sur la ville"Impeccable thriller à l'action soutenue et à l'ambiance angoissante, Peur sur la Ville est un hit de Belmondo parfaitement mérité. Du beau travail." Avoir Alire "Henri Verneuil est un des rares cinéastes français qui aient réussi à tourner en France des films de facture hollywoodienne. Ici, il utilise le thème, cher à la littérature policière américaine, du tueur psychopathe, et donne la primauté à l'action et au suspense." Telerama "Devant un interlocuteur qui le félicitait d'être le seul réalisateur français à faire des films d'action, Verneuil s'était ouvertement étonné. Nous aussi ! Comment se fait-il que la voie royale tracée par ce metteur en scène populaire de haut niveau n'ait pas été suivie d'une multitude d'émules ? L'homme totalise pourtant à lui seul presque cent millions d'entrées... .... Fidèle à ses habitudes, le Jean-Paul effectue lui-même ses cascades, ici probablement les plus inouïes de sa carrière. Poursuite sur les toits de Paris, marche sur le toit d'un métro en mouvement, Belmondo s'affiche plus que jamais comme un homologue français de Jackie Chan ou de Buster Keaton, et demeure l'un des très, très rares comédiens de l'histoire du cinéma mondial à avoir pris autant de risques. ... le film de Verneuil demeure aujourd'hui un classique absolu du policier d'action français." Time Out "C'est de ce film qu'est né la légende qui n'en est pas une de Bebel qui effectue toutes ses cascades lui-même." Tranches de Ciné "Henri Verneuil fati de nouveau appel à Ennion Morricone pour la musique. Le musicien est désormais un fidèle du cinéaste." Indi Blave, le blog "Peur sur la Ville bénéficie d'une trame scénaristique très intelligemment dessinée et rondement menée. Tout est très bien organisé dans une atmosphère pesante, angoissante, absolument propice à l'histoire racontée. ... même si le jeu d'acteur et la mise en scène ont un peu vieilli et même si le film souffre de quelques longueurs qu'on aurait pu éviter, Henri Verneuil signe un très bon polar, très noir." Tranches de Ciné Synopsis usuel À la suite d’un appel téléphonique d’un certain Minos, une jeune femme est tuée. Le commissaire Letellier enquête sur d’autres femmes menacées par téléphone sans pour autant pouvoir empêcher un second meurtre. Après la découverte d’un oeil de verre brisé, Letellier croit tenir son coupable…
Agrandir Précédent Suivant Affiche du film PEUR SUR LA VILLE » Référence CAC0197 Cette affiche de film est momentanément indisponible État Nouveau produit 49,00€ En savoir plus Description / Détails de l'affiche du film Acteurs JP BELMONDO Réalisateur HENRI VERNEUIL Illustrateur FERRACCI Genre / Catégorie POLICIER Année 1975 Taille de l'affiche 120 x 160 cm2 Genre POLICIER Année 1975 Taille 120 x 160 Les clients qui ont acheté cette affiche de film ont également acheté... Affiche du film THOMAS CROWN Affiche du film LES ANGES GARDIENS Affiche du film PETITE SIRENE LA - THE LITTLE MERMAID Affiche du film OCEAN'S TWELVE - OCEAN'TWELVE Affiche du film ASTERIX ET OBELIX MISSION CLEOPATRE Affiche du film ROBIN DES BOIS Affiche du film LA CRISE Affiche du film BARTON FINK Affiche du film MARIS ET FEMMES - HUSBANDS AND WIVES Affiche du film DJANGO UNCHAINED 30 autres affiches de films dans le même genre Affiche du film BRIGADE ANTI-GANG Affiche du film BRIGADE MONDAINES Affiche du film BRIGADES DU TIGRE LES Affiche du film BUFFET FROID Affiche du film BUFFET FROID Affiche du film BYE BYE, BARBARA Affiche du film CANICULE Affiche du film CAPONE Affiche du film CARNAGE - PRIME CUT Affiche du film CHER PAPA - CARO PAPÀ Affiche du film CHINATOWN Affiche du film CHINATOWN Affiche du film CITE DES DANGERS LA - HUSTLE Affiche du film COMME UN VOLEUR - THICK AS... Affiche du film COP - COP Affiche du film CORDE LA - ROPE Affiche du film COTTON CLUB Affiche du film COURSE DU LIEVRE A TRAVERS... Affiche du film CRIME LA Affiche du film CROSS Affiche du film CRUISING - LA CHASSE - Affiche du film DEAD AGAIN Affiche du film DERNIER ETE A TANGER Affiche du film DERNIER GANG LE Affiche du film DERNIERES HEURES A DENVER -... Affiche du film DES HOMMES D'HONNEUR - A... Affiche du film DETECTIVE Affiche du film DEUX DOIGTS SUR LA GACHETTE Affiche du film DEUXIEME SOUFFLE LE Affiche du film DIAGONALE DU FOU LA
POLICIER FILM Le genre fait école Za-la-Mort en Italie, Homonculus et le docteur Mabuse en Allemagne, la Main qui étreint aux États-Unis, Zigomar et Belphégor en France. La fascination du public pour le crime devient telle que la censure doit réagir. Feuillade délaisse Fantômas en 1916 pour un justicier sans peur et sans reproche, Judex. La revendication sociale héritée de l'anarchie disparaît à peu près complètement du film policier français jusqu'à La Chienne de Jean Renoir, en 1931. […] Lire la suiteLE TROUPEAU, film de Yilmaz GüneyÉcrit par Kristian FEIGELSON • 924 mots Le film prend la forme d'un véritable cheminement dans le malheur. Hamo règne en despote sur sa famille. D'un clan rival, sa belle-fille Berivan est stérile et porte toutes les malédictions. Shivan, son mari, accepte d'aider son père Hamo à convoyer leur troupeau, seule richesse de la famille, jusqu'à la capitale, où il fera soigner sa femme. D'étape en étape, le troupeau est décimé par la maladie, la corruption et les vols. […] Lire la suiteLE GUÉPARD, film de Luchino ViscontiÉcrit par Michel CHION • 1 191 mots • 2 médias Il est poignant lorsqu'on le voit tenté par la jeunesse d'Angelica, qu'il donne » à son neveu, et lorsqu'il évoque sa propre mort en regardant un tableau. Alain Delon, après avoir été Rocco dans le film précédent, excelle dans un rôle de jeune homme enthousiaste et désinvolte à la fois. C'est son personnage qui souffle au prince Salina la phrase étrange que celui-ci répétera Il faut que tout change pour que rien ne change. […] Lire la suiteLES FRAISES SAUVAGES, film de Ingmar BergmanÉcrit par Jacques AUMONT • 1 060 mots De cette porosité du naturel et du fantastique, très sensible également dans les scènes avec la mort dans Le Septième Sceau, Bergman se souviendra dans toute son œuvre à venir. Le rôle du professeur a été confié à Victor Sjöström, acteur et réalisateur de cinéma muet, dont Bergman a toujours dit qu'il était sa plus grande inspiration. Par ce biais avoué, par le choix d'un style archaïsant pour les séquences de rêve, par le thème nostalgique du récit, Bergman nous donne la meilleure clef pour apprécier ce film c'est son adieu à une certaine cinéphilie, et son entrée dans une période plus mûre, où il pourra inventer sans avoir de comptes à rendre au passé – ni au sien, ni à celui du cinéma. […] Lire la suitePOETRY Lee Chang-dongÉcrit par Charles TESSON • 1 011 mots Ce cadre premier, celui d'une nature au fil de l'eau, métaphore de l'écoulement du temps, à la fois source de vie et porteuse de mort, donne au film son propos comment faire venir les mots au monde, leur prodiguer vie et sens, afin de composer un poème capable de restituer le souvenir de la personne disparue. De même que le film naît de l'association entre l'image d'un cadavre flottant et le titre qui lui est donné, le récit de Poetry commence par la rencontre au sein d'un même plan entre la mère de l'adolescente terrassée par la mort de sa fille et de Mija Yun Jung-hee, de passage, troublée par ce qu'elle voit de son effondrement. […] Lire la suiteMANGANO SILVANA 1930-1989Écrit par Jean-Pierre JEANCOLAS • 480 mots Mais il faut reconnaître qu'ils ont simultanément joué, avec une belle conviction, la carte de l'érotisme, imposée sans doute par un producteur soucieux de rentabilité. La Mangano, dans son improbable short d'improbable prolétaire, la cuisse musclée, le corsage tendu, le regard fier, a séduit l'Italie, puis l'Europe. Elle a conquis également le jeune producteur du film, Dino de Laurentiis, qui l'a épousée l'année même de la sortie du film, en 1949. […] Lire la suiteTRINTIGNANT MARIE 1962-2003Écrit par Universalis • 132 mots Révélée en 1979 par le film Série noire d'Alain Corneau, où elle incarne une jeune fille inhibée livrée par sa tante à la prostitution, Marie Trintignant, de son vrai nom Marie Marquand, affectionne les rôles de personnages atypiques, déjantés et marginaux. Dans Une affaire de femmes 1988 de Claude Chabrol, elle joue une prostituée qui donne la réplique à Isabelle Huppert, une faiseuse d'anges » condamnée à mort en 1943. […] Lire la suiteEYES WIDE SHUT S. KubrickÉcrit par Michel CIMENT • 1 013 mots Chaque film de Stanley Kubrick, lorsqu'il est apparu pour la première fois sur les écrans, a déconcerté nombre de spectateurs et en particulier les critiques. Eyes Wide Shut 1999 n'a pas failli à la règle, d'autant qu'il s'est avéré impossible pour les commentateurs d'exprimer ce qu'ils pensaient et ressentaient sans prendre en compte la mort du metteur en scène survenue quatre mois avant la sortie du film. […] Lire la suiteDUVIVIER JULIEN 1896-1967Écrit par Universalis • 281 mots Il ne remporte guère de succès avec son premier film, Haceldama ou le prix du sang 1919, ni avec les autres vingt longs-métrages qu'il tourne dans les années 1920. En 1929, Duvivier réalise Au Bonheur des dames, le premier d'une série de films qui vont faire sa réputation Poil de carotte 1932, Maria Chapdelaine 1934, Pépé le Moko 1936 et ce qui est sans doute son film le plus célèbre, La Belle Équipe 1936, puis Un Carnet de bal 1937. […] Lire la suiteRIVETTE JACQUES 1928-2016Écrit par Joël MAGNY • 2 304 mots • 1 média Peu avant sa mort, son film devenu longtemps fantomatique Out 1 Spectre est restauré et rendu de nouveau visible. Enfin, la maladie l’oblige à mettre en scène au jour le jour son dernier film, 36 vues du pic Saint-Loup, avec ceux qui l’entourent sur le tournage. S’accomplit, par la force des choses, le rêve d’un film sans maître ». Jacques Rivette meurt à Paris le 29 janvier 2016. […] Lire la suiteVANEL CHARLES 1892-1989Écrit par Raymond CHIRAT • 1 121 mots Scola La Plus Belle Soirée de ma vie, 1972 ou Francesco Rosi Cadavres exquis, 1975 ; Trois Frères, 1980 auront su tirer profit de son masque impassible. En 1987, dirigé par Jean-Pierre Mocky Les Saisons du plaisir et par C. Goretta Si le soleil ne revenait pas, peut-être se rappelait-il son film le plus émouvant, Le ciel est à vous J. Grémillon, 1943 où il sublime la passion d'un modeste artisan pour l'aviation, et de son tour de force le plus convaincant le malfrat beau parleur et voué à une mort affreuse du Salaire de la peur, de H. […] Lire la suiteCLÉMENT RENÉ 1913-1996Écrit par Olivier EYQUEM • 1 173 mots La dernière partie du Château de verre 1950 s'ouvre avec une fulgurante projection dans le futur, qui annonce la mort prochaine de l'héroïne, Michèle Morgan. Cette figure de style d'une audace extrême n'est pas la seule originalité d'une œuvre injustement méconnue. Le film constitue une œuvre charnière, réunissant pour la première fois, avec une rigueur exemplaire, la plupart des thèmes et situations propres à Clément la séduction, l'errance et le „temps suspendu“, l'objet comme intercesseur du destin, le jeu de la mort et du hasard. […] Lire la suiteMAC CAREY LEO 1898-1969Écrit par Universalis • 951 mots Son premier film pour la Paramount est Duck Soup La Soupe au canard, 1933, avec les Marx Brothers. Le film essuie un échec à sa sortie, mais on le considère aujourd'hui comme l'une des meilleures comédies de tous les temps. Mac Carey dirige également Fields, George Burns et Gracie Allen dans Six of a Kind 1934, Poker party, et Mae West dans Belle of the Nineties Ce n'est pas un péché, 1934. […] Lire la suiteROSI FRANCESCO 1922-2015Écrit par Aldo TASSONE • 1 072 mots C'était son premier film en couleurs. Le sixième film, La Belle et le chevalier 1965, devait être la première fable italienne, inspirée des fables de l'écrivain napolitain Giambattista Basile. Mais l'intervention du producteur qui voulait en faire un film d'acteur réduisit la portée de l'ambitieux projet, qui témoigne cependant de la sensibilité figurative du réalisateur et de la pluralité de ses intérêts. […] Lire la suiteASHTON FREDERICK 1904-1988Écrit par Universalis • 360 mots Il se fait remarquer par ses prestations de mime et de danseur de caractère dans des rôles comme Carabosse dans La Belle au bois dormant et le gigolo dans Façade. Il est également le brillant chorégraphe des ballets Cendrillon, Sylvia, Daphnis et Chloé et du film Les Contes d'Hoffmann 1951. Il reste le chorégraphe en chef du Royal Ballet de 1933 à 1970. […] Lire la suiteJAMES BONDÉcrit par René MARX • 995 mots • 1 média On est tellement pris par les exploits du poursuivant qu'on ne voit pas venir ce qui va faire, enfin, mourir James Bond une belle tueuse contrainte d'obéir à l'ordre fatal de ses supérieurs du M16. Après ce prologue grandiose, viennent la mort et la résurrection du Chéri-Bibi » écossais. Car le héros n'est plus que l'ombre de lui-même. Il n'atteint plus sa cible. […] Lire la suitePICCOLI MICHEL 1925-2020Écrit par Joël MAGNY • 2 188 mots • 1 média Luis Buñuel est sans doute le cinéaste avec lequel il se sent le plus en complicité La Mort en ce jardin 1956 ; Le Journal d'une femme de chambre 1963 ; Belle de jour 1966 ; La Voie lactée 1969 ; Le Charme discret de la bourgeoisie 1972 ; Le Fantôme de la liberté 1974... Ces deux derniers titres laissent entendre ce que sont les deux postulations de l'acteur ironie et fantasmagorie. […] Lire la suiteBUÑUEL LUIS 1900-1983Écrit par Jean COLLET • 2 721 mots • 3 médias Les surréalistes lancent le film. Cocteau, étranger au groupe, ne cache pas son admiration. Il présente Buñuel au vicomte de Noailles, qui finance L'Âge d'or. Le film est interdit par la censure, décision qui ne sera officiellement levée qu'en 1982, pour une projection au festival de Cannes et à la télévision française, un an avant la mort de Buñuel. […] Lire la suiteTIERNEY GENE 1920-1991Écrit par Joël MAGNY • 945 mots • 2 médias Sa mère, Belle, avait été enseignante. Elle doit son prénom masculin à l'unique frère de Belle, mort à dix-sept ans. Inquiet de voir les jeunes gens tourner autour de cette jolie fille, son père l'envoie, à seize ans, dans un pensionnat en Suisse. Entendant, lors d'une visite des studios Warner, le réalisateur Anatole Litvak qui lui lançait Mademoiselle, vous devriez faire du cinéma » – ce sera le titre français de son autobiographie Self Portrait, 1979 –, Gene Tierney sut, à dix-huit ans, ce qu'elle ferait. […] Lire la suiteALEXEIEFF ALEXANDRE 1901-1982Écrit par Gérard LEGRAND • 639 mots Or le film fut froidement reçu au festival de Tours et son auteur ne tarda pas à faire retraite sans avoir réellement fait école. L'oubli dans lequel il se laissa enfermer dès lors, pour relever probablement de l'amertume, n'en est pas moins injuste. Alexandre Alexeieff est mort à Paris le 9 août 1982. […] Lire la suiteGALLONE CARMINE 1886-1973Écrit par Christian VIVIANI • 575 mots ; Les Deux Orphelines, Le Due Orfanelle, 1942, tous interprétés par la belle et sensible Alida Valli. Par contre son film le plus célèbre Scipion l'Africain Scipione l'Africano, 1937, est aussi le plus décevant. Cette commande du régime fasciste inaugurait les plateaux de Cinecittà récemment construits seul péplum réalisé à cette époque, ce mélodrame grandiose, certes, mais ampoulé et joué avec une emphase digne du muet, est alourdi par les parallèles appuyés entre la personnalité du vainqueur d'Hannibal et celle du Duce. […] Lire la suiteDES HOMMES ET DES DIEUX X. BeauvoisÉcrit par Michel ESTÈVE • 1 112 mots En épigraphe de son film, Xavier Beauvois propose un verset tiré du psaume 82 Je l'ai dit vous êtes des dieux, des fils du Très-Haut, vous tous ! Pourtant vous mourrez comme des hommes. » Ces fils de Dieu sont ici des moines cisterciens remarquablement interprétés par, entre autres, Jacques Herlin, Philippe Laudenbach, Olivier Rabourdin. Leur foi les conduit sur le chemin d'une mort atroce. […] Lire la suiteTHE GRANDMASTER Wong Kar-WaiÉcrit par Pierre GRAS • 889 mots • 1 média Ce sont bien ces souvenirs qui forment le tissu d’un film profondément mélancolique, parcourant le passé de la Chine de la jeunesse du personnage à la fin de l’ère Qing jusqu’à son exil à Hong Kong, après l’arrivée de Mao Zedong au pouvoir. Mélancolie amoureuse Les combats marquent ainsi les étapes d’un récit que découpent également de manière très significative plusieurs séances de photos qui, comme chez Ozu, influence discrète, mais majeure, du travail de Wong Kar-wai, revêtent une dimension de deuil en rassemblant une dernière fois les membres de la famille ou d’un groupe que les événements et la mort vont bientôt détacher les uns des autres. […] Lire la suiteLE RETOUR A. ZviaguintsevÉcrit par Michel ESTÈVE • 951 mots Lion d'or au festival de Venise 2003, Le Retour montre le grand talent du cinéaste russe Andreï Zviaguintsev et atteste la maîtrise d'une écriture cinématographique rarement observée dans un premier film. D'une tonalité proche du conte, ce film met en scène avec une remarquable puissance de suggestion les relations père-fils. Parce que leur père Konstantin Lavronenko a quitté le foyer, il y a bien longtemps, Andreï, quinze ans Vladimir Garine, et Ivan, onze ans Ivan Dobronrakov, n'ont été élevés que par leur mère. […] Lire la suiteDEPARDIEU GÉRARD 1948- Écrit par Joël MAGNY • 2 424 mots • 1 média Peut-être ma plus belle aventure depuis mes débuts d’homme libre », commente l’acteur Ça s’est fait comme ça. Le film est dédié à Guillaume Depardieu, ce fils mort en 2008 qu’il se reprochera toujours de n’avoir pas su aimer ni aider. Les rapports difficiles entre ce père et ce fils inspiraient également Aime ton père, de Jacob Berger 2002. Déjà, en tournant Le Garçu de Maurice Pialat, Gérard Depardieu avait senti que, sur le tournage, il était le substitut du cinéaste vis-à-vis de l’enfant, interprété pas le fils même de Pialat. […] Lire la suiteOLIVEIRA MANOEL DE 1908-2015Écrit par Jean-Pierre TOUATI • 2 531 mots • 1 média Cette méditation sur la mort en demeure des plus troublantes. Ce qui n'empêche pas l'humour Quel froid ! », murmure une voix off à la fin du film, cependant que la caméra fixe la flamme vacillante d'une chandelle posée sur la stèle funéraire de l'écrivain défunt. Chant de la terre » d'une profonde sensualité, Le Val Abraam 1993 peut apparaître comme une somme oliveirienne. […] Lire la suiteBOETTICHER BUDD 1916-2001Écrit par Alain GAREL • 611 mots Après un autre film sur la tauromachie, The Magnificent Matador Le Brave et la belle, 1955, il réalise un thriller nerveux et violent, The Killer is Loose Le tueur s'est évadé, 1956, qui attire l'attention sur lui. John Wayne lui confie alors la mise en scène de Seven Men from Now Sept Hommes à abattre, ibid., dont il est le producteur, et qu'interprète Randolph Scott. […] Lire la suiteDELVAUX ANDRÉ 1926-2002Écrit par René PRÉDAL • 794 mots C'est alors que Zénon, médecin et alchimiste, choisit d'affirmer sa dignité de savant, conscient que ce dernier combat le conduira à une mort annoncée. Film testamentaire, esthétiquement construit autour du motif du feu qui éclaire et dévore à la fois, L'Œuvre au noir marque l'aboutissement d'une méditation menée par André Delvaux sur le sens profond de l'existence. […] Lire la suiteDOBOUJINSKI ROSTISLAV 1903-2000Écrit par Olga MEDVEDKOVA • 818 mots Rostislav Doboujinski est mort à Paris le 23 juin 2000. Avant sa mort, il a légué une collection de ses masques à la bibliothèque de l'Arsenal. […] Lire la suiteLA VIE D'ADÈLE A. KechicheÉcrit par René MARX • 1 091 mots • 1 média La belle scène de la visite du musée, où les amantes admirent les représentations plastiques de nudités féminines, glisse abusivement vers ces scènes érotiques » où le souci plastique appauvrit la vérité des personnages telle qu'elle apparaît dans la plupart des scènes du film. Il reste que les défauts de ce grand cinéaste font partie de lui, et peut-être de son style même. […] Lire la suiteBRAULT MICHEL 1928-2013Écrit par René PRÉDAL • 694 mots L’enthousiasme intellectuel et artistique prendra fin avec l’échec inattendu du référendum sur l’indépendance de la Belle Province », en 1980. Mais jusque-là, en cinéma direct ou dans la prise de vues des films de fictions qui se multiplient dès les années 1970, Brault est au générique de bon nombre des plus grands films québécois L’Acadie, l’Acadie coréalisateur Pierre Perrault, Mon oncle Antoine Claude Jutra, Le Temps d’une chasse ou Les Bons Débarras Francis Mankiewicz… Lui-même réalise en particulier Entre la mer et l’eau douce qui révèle Geneviève Bujold 1967, jolie mais triste histoire d’amour chez les jeunes quittant la campagne pour la grande ville et Les Ordres 1974, prix de la mise en scène au festival de Cannes 1975, film politique dénonçant la violente répression policière consécutive à la crise d’octobre 1970. […] Lire la suiteFARHADI ASGHAR 1972- Écrit par Raphaël BASSAN • 1 126 mots Dans ce film matriciel, un délinquant tente, à sa sortie de prison, d'obtenir la grâce d'un ami coupable de meurtre, en plaidant sa cause auprès du père de la victime le seul à pouvoir lui éviter, en retirant sa plainte, la peine de mort. Les protagonistes appartiennent tous, dans Beautiful City, à la classe des défavorisés. C'est avec son troisième film, La Fête du feu Chahar shanbé suri, 2006 que Farhadi parachève son univers couples aisés et domestiques se côtoient, s'observent, s'opposent ; le film montre bien leur différence de condition et de vision du monde. […] Lire la suiteWALSH RAOUL 1887-1980Écrit par Christophe MERCIER • 2 218 mots Le cinéaste dit se refuser à montrer des gens ouvrir ou fermer des portes ; aucun temps mort ne doit s'installer J'avais le sens du temps. Je ne laissais pas de temps mort. J'avais toujours peur que le spectateur ne prît de l'avance. » Walsh sait varier aussi bien le rythme que le ton de ses films Ce qu'il faut essayer de faire au cinéma, c'est d'introduire dans un film une grande variété d'éléments différents, pour que le film soit construit un peu comme une pièce de musique, une symphonie. […] Lire la suiteVOYAGE À TRAVERS LE CINÉMA FRANÇAIS B. TavernierÉcrit par Norbert CZARNY • 1 157 mots • 1 média Placé en sanatorium, Bertrand Tavernier voit son premier film Dernier Atout, de Jacques Becker. Sa passion est née, et elle va guider l’adulte qui sera, selon la belle formule de Godard, un enfant de la Libération et de la cinémathèque ». Son Voyage à travers le cinéma français 2016 est d’abord affaire de goût le spectateur et cinéaste parle des films qui l’ont illuminé, enthousiasmé ou intéressé, en leur associant des moments de son existence professionnelle. […] Lire la suiteINSTITUT LUMIÈREÉcrit par Philippe ROUYER • 976 mots • 2 médias À Lyon, dans le quartier de Monplaisir, au 25 de la rue du Premier-Film, l’Institut Lumière célèbre le cinéma de patrimoine à l’endroit même où les frères Auguste et Louis Lumière inventèrent le Cinématographe. Aux origines En 1975, la ville de Lyon a fait l’acquisition de la villa Lumière, la belle maison construite en 1896 par Antoine Lumière le père d’Auguste et Louis, et de ses anciennes usines attenantes, alors fermées. […] Lire la suiteDESPLECHIN ARNAUD 1960- Écrit par Joël MAGNY • 2 313 mots • 1 média Celle-ci est résumée aux premières images du film, lorsque l’on voit le frère de Patrick en train de scier les branches d’un arbre il faut que des branches tombent pour que d’autres naissent, et que l’arbre vive. La vie croît sur l’humus, la décomposition, la mort. Le film qui suit, La Sentinelle, surprend, au cœur d'un cinéma français plutôt porté à l'intimisme. […] Lire la suiteFOLDÈS PETER 1924-1977Écrit par Robert BENAYOUN • 982 mots » Il tourne aussi des films directs » avec acteurs, et les truffe de séquences animées, sans qu'on sache lesquels commandent l'action c'est le cas de Je, tu, elles 1969 à 1973, de La Belle Cérébrale, œuvres composites, fantasques, maîtrisées. Mais sa carrière se renouvelle quand il découvre la possibilité de l'électronique. En 1967, il avait réalisé un film reliant un synthétiseur d'images à un ordinateur Épatozoïde, puis deux dessins animés techniques pour le Service français des autoroutes. […] Lire la suiteJACKIE BROWN Q. TarantinoÉcrit par Frédéric STRAUSS • 1 130 mots La mort de Mélanie, enfin, est un moment de totale et poignante étrangeté une déflagration brutale sur un parking, mettant fin au badinage érotique auquel la jeune fille se livrait avec Louis Gara, qui, en la tuant inexplicablement, fait basculer cette nymphette dans une tragédie de l'absurde. Chaque personnage est ainsi élevé à une dimension inattendue, construite patiemment et de manière invisible par Tarantino, qui, sans avoir recours à des procédés scénaristiques, toujours voyants, fait entrer dans son film la vie, le temps. […] Lire la suiteTRUFFAUT FRANÇOIS 1932-1984Écrit par Joël MAGNY • 2 140 mots • 4 médias À la mort du cinéaste, le grand quotidien japonais Asahi Shimbun parlait d’ un style propre que l’on pourrait appeler “le monde Truffaut” ». En France, sa mort brutale en a fait un mythe, à mi-chemin entre Jean Vigo et James Dean. En 1981, il remporte dix césars pour Le Dernier Métro, mais, deux ans plus tard, son dernier film, Vivement dimanche !, un film du samedi soir conçu pour faire plaisir », est accueilli fraîchement. […] Lire la suiteSTURGES PRESTON 1898-1959Écrit par Marc CERISUELO • 1 930 mots • 1 média Dans le premier film, une jeune fille Betty Hutton passe une nuit d'ivresse avec un soldat dont elle ne se rappelle rien sinon un très vague patronyme. Enceinte, elle épousera son soupirant Eddie Bracken qui sera, après un ébouriffant concours de circonstances, accusé de bigamie. Tout finira bien car la belle donnera la vie le jour de Noël à des sextuplés qui feront de Morgan's Creek un haut lieu de l'humanité. […] Lire la suiteLÉVÊQUE CLAUDE 1953- Écrit par Bénédicte RAMADE • 1 131 mots Si on peut penser au film Les Disparus de Saint-Agil Christian-Jaque, 1938, Claude Lévêque livre aussi ses propres pistes. Il a emprunté le titre de cette installation au film d'Howard Hawks 1946 et utilisé pour l'affiche une photographie noir et blanc de Mehdi, le jeune héros de Belle et Sébastien 1965. Un film policier, une série télévisée culte, une bande-son aux harmoniques asiatiques réalisée avec le musicien Gérôme Nox. […] Lire la suiteCHARLIE ET LA CHOCOLATERIE et LES NOCES FUNÈBRES T. BurtonÉcrit par Raphaël BASSAN • 1 076 mots Inspiré du folklore russe, Les Noces funèbres réalisé en collaboration avec Michael Johnson est, avec Sleepy Hollow 1999, le film le plus ouvertement gothique de Tim Burton. Dans une Angleterre victorienne, un couple d'aristocrates désargentés, les Everglot, se résout à marier sa fille, Victoria, au rejeton de riches commerçants, Victor Van Dort. […] Lire la suiteANDERSON WES 1969- Écrit par Marc CERISUELO • 1 079 mots • 1 média Quant à Darjeeling Limited, il s'agit sans trop de surprise du film indien » d'un cinéaste-cinéphile influencé à la fois par Le Fleuve de Jean Renoir, l'œuvre de Satyajit Ray et les films de James Ivory à ses débuts. L'histoire du film est celle d'un authentique transfert culturel » réussi où se retrouvent tous les thèmes chers au cinéaste après la mort de leur père, trois frères partent à la recherche de leur mère, désormais religieuse en Inde. […] Lire la suiteSLEEPY HOLLOW T. BurtonÉcrit par Frédéric STRAUSS • 1 098 mots • 1 média Tim Burton a su donner à toutes les apparences couleurs, lumières, décors une pleine fonction dramaturgique dans son film. Mais Sleepy Hollow raconte plus que la progression et le dénouement d'une enquête très vite suspendue à une seule question qui commande le Cavalier sans tête et à quelle fin ? Entre ce tueur et le policier Ichabod, Tim Burton suggère un lien qui, peu à peu, s'éclaire le Cavalier veut retrouver sa tête pour retourner dans le passé, dans la mort, tandis qu'Ichabod veut percer le mystère de ces crimes pour y mettre fin, grâce à une science nouvelle, et se tourner vers l'avenir. […] Lire la suitePIALAT MAURICE 1925-2003Écrit par Joël MAGNY • 1 746 mots Dans La Gueule ouverte, pour reprendre la formule de Cocteau, Pialat filme bien la mort au travail », mais scrute tout autant, chez ceux qui entourent la mourante, fils, mari le garçu », belle-fille, la façon dont chacun d'eux détourne le regard du spectacle de la souffrance, en attendant, la fin »... De là le malaise et le vrai scandale du film. […] Lire la suiteRÉALISME POÉTIQUE, cinéma françaisÉcrit par Jean-Louis COMOLLI • 756 mots • 2 médias En 1936, Julien Duvivier réalise un film demeuré célèbre La Belle Équipe. L'anecdote était simple des chômeurs montent une entreprise coopérative une guinguette dans la banlieue parisienne et se heurtent à de nombreuses difficultés. Le dénouement était différent selon l'une ou l'autre version dans la version projetée sur les Champs-Élysées, l'entreprise échouait ; inversement, elle réussissait dans la version présentée au public populaire. […] Lire la suiteGARREL PHILIPPE 1948- Écrit par Joël MAGNY • 1 090 mots Ce très beau film-somme, hanté par la mort, mais aussi par les morts – le suicide discrètement évoqué de Jean Eustache, le monologue de Jacques Lassalle sur celui, plus lent, d'Antoine Blondin –, poursuit une réflexion aussi bien sur le cinéma, la filiation symbolique que l'histoire. Mais son jeu avec les signes extérieurs du cinéma-spectacle une Porsche rouge omniprésente n'a pas totalement convaincu les tenants d'un cinéma radical et pauvre », et l'intimisme de l'inspiration de Garrel a laissé le public habituel de Catherine Deneuve sur la touche. […] Lire la suiteLE TRAÎTRE M. BellocchioÉcrit par René MARX • 1 100 mots Donc un film sur le thème de la trahison. On pourrait me dire que, né près de Plaisance, au nord de l'Italie, je n'ai pas grand-chose à voir avec la Sicile. Mais, avec un vrai travail de documentation bien entendu, je voudrais comprendre si je peux rattacher cette histoire à des éléments personnels, qui m'appartiennent vraiment. » Une histoire de familles Tommaso Buscetta, né en 1928, parrain repenti, est mort dans son lit à New York en 2000, obscurément, et donc heureusement à l’abri de ses ennemis. […] Lire la suite
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires Réalisateurs Scénaristes Dialoguiste Francis Veber Scénariste Henri Verneuil Dialoguiste Jean Laborde Acteurs et actrices Le commissaire divisionnaire, Sabin Jean Martin Soundtrack Compositeur Ennio Morricone Equipe technique Cascadeur Rémy Julienne Directeur de la photographie Jean Penzer Monteur Pierre Gillette Photographe de plateau Vincent Rossell Monteur Henri Lanoë Cascadeur Claude Carliez Sociétés Production Cerito Films Distribution Agence Méditerranéenne de Location de Films Production Mondial Televizione Films
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affiche film peur sur la ville