Ilconvient donc de mener tout un travail auprès des soignants afin qu'ils aient une approche adaptée des handicapés mentaux au niveau des soins. Toute ceci demande de la formation et de la
Avecle vieillissement, les besoins de votre proche handicapé changent et l’accompagnement à domicile peut devenir de plus en plus compliqué. Pour les aidants de personnes handicapées vieillissantes, la prise en charge en établissement s’impose souvent. Avec un personnel formé aux questions du vieillissement, les établissements d’hébergement
Comprendreune attitude violente permet Ă l’aidant de ne plus en avoir psychologiquement peur, donc l’aide notamment Ă ne plus avoir besoin de porter sur elle des jugements nĂ©gatifs. Face Ă la violence de l’aidĂ©, l’aidant a Ă Ă©valuer la gravitĂ© de la situation et Ă
Avet R., 2009: Avoir un handicap mental et devenir parent + Site Statistics. References: 61,832,559. Abstracts: 31,674,388. PMIDs: 31,092,568. DOIs: 28,749,758 + Search Articles + PDF Full Text Service. How our service works. Request PDF Full Text + Follow Us. Follow on Facebook. Follow on Twitter. Follow on LinkedIn + Top 15. 1. The Integrated Project Planning
Deplus en plus souvent, les personnes avec une déficience intellectuelle expriment le désir de devenir parents. Si elles le souhaitent, les professionnels les accompagnent dans leur réflexion. Quand l’enfant est là , ils mettent en place un soutien à la parentalité et à la gestion du quotidien.
Miseen garde médicale. Le handicap mental (traditionnellement qualifié de retard mental) est un trouble généralisé perçu avant l'âge adulte, caractérisé par un déficit et dysfonctionnement cognitif dans deux ou plusieurs fonctionnements adaptatifs. Il est historiquement défini sous le score de 70 de quotient intellectuel (QI) [ 1].
Xddv.
Un handicap grave à expressions multiples Définitions & origines du polyhandicap Le polyhandicap est un handicap grave à expressions multiples avec déficience motrice et déficience mentale sévère ou profonde, entraînant une restriction extrême de l’autonomie et des possibilités de perception, d’expression et de relation*. » La multiplication des handicaps Chez la personne polyhandicapée, les handicaps ne s’ajoutent pas ou ne s’additionnent pas ils se multiplient. Ils entraînent une dépendance importante nécessitant une aide humaine et des soins permanents avec une prise en charge individualisée. Des causes diverses Les causes du polyhandicap peuvent être prénatales malformations, AVC prénataux…, périnatales dont une partie liée à des souffrances fœtales ou de grandes prématurités ou postnatales traumatismes, arrêts cardiaques. Elles sont parfois tout à fait inconnues. Les recherches actuelles portent sur les causes génétiques existence de cas familiaux *Définition selon l’annexe XXIV ter du CTNERHI Centre Technique National d’Etudes et de Recherche sur les Handicaps et les Inadaptations du Symptômes & conséquences Une déficience intellectuelle sévère ou profonde Correspondant approximativement à un Quotient Intellectuel inférieur à 40, elle entraîne des difficultés à se situer dans l’espace et le temps, une fragilité des acquisitions mnésiques mémoire, des troubles ou impossibilité de raisonnement, de mise en relation des situations entre elles, et le plus souvent, l’absence de langage ou la mise en place d’un langage très rudimentaire. Il peut arriver que les troubles du comportement prennent une place importante stéréotypies, auto-agressivité, phénomènes de repli. Des troubles moteurs infirmité motrice d’origine cérébrale troubles moteurs par lésion définitive non évolutive du cerveau paralysies, mouvements anormaux hypotonie massive, trouble de l’organisation motrice méconnaissance du sens de la position du corps dans l’espace, troubles de l’équilibre, déambulation automatique ne tenant pas compte des obstacles. Les chutes sont souvent fréquentes. troubles orthopédiques secondaires luxations des hanches, scolioses évolutives limitant les performances motrices et les possibilités de déplacement. Elles sont pour beaucoup source de douleurs. Les atteintes sensorielles troubles de la vue, de l’audition peuvent être associés et doivent être systématiquement recherchés malgré un diagnostic parfois difficile Une maladie épileptique surajoutée est possible voire fréquente. Chiffres & faits Les données en France sont assez anciennes mais permettent de donner un ordre de grandeur. Prévalence des handicaps associés sévères 2 pour mille 30% des causes du polyhandicap sont inconnues 50% de causes prénatales malformations, AVC prénataux… 15% sont d’origine périnatales 5% de causes postnatales traumatismes, arrêts cardiaques Il y a 88O nouveaux cas d’enfants polyhandicapés par an en France et plus de 95000 adultes dans les établissements medico sociaux Prise en charge & accompagnement pour le polyhandicap Des soins d’importance vitale Gestes d’accompagnement et soins journaliers C’est au travers des gestes d’accompagnement et de soins journaliers qu’un mode de communication, une relation s’installent. Les soins sont d’une importance vitale du fait de la grande dépendance et du degré de fragilité somatique des personnes polyhandicapées. L’alimentation est au premier plan. Elle doit être adaptée à chacun en fonction de ses capacités de déglutition et des risques de fausses routes texture, liquide gélifié ou non… Les installations, le positionnement de la personne handicapée et la façon d’introduire les aliments en bouche sont de première importance. Pour certaines personnes le recours à la sonde gastrique est nécessaire pour éviter les fausses routes répétitives, les refus de s’alimenter qui en découlent, les conséquences respiratoires pneumopathies parfois sévères voire les risques de mort subite. La prise en charge du corps et des contraintes liées au handicap se traduit par de l’éducation motrice, de la rééducation, de l’orthopédie avec des kinésithérapeutes , psychomotriciens et ergothérapeutes. Il est essentiel de préserver la moindre possibilité motrice et manuelle préhension des objets, utilisation des membres supérieurs… et de réduire au mieux les rétractions musculaires et les déformations articulaires ainsi que prévenir la raréfaction osseuse qui se produit par manque de stimulation du corps. Les appareillages sont indispensables. Les installations adéquates protègent des évolutions orthopédiques aggravantes et favorisent des meilleures performances coques de station assise avec ou sans appui têtes, attelles diverses, chaussures orthopédiques, tables de verticalisation, fauteuils roulants adaptés manuels ou parfois électriques. Le recours à la chirurgie est parfois nécessaire. Moyens de communication Avec les personnes dépourvues de langage, le mode de communication est difficile à établir. Les codes imagés, les pictogrammes peuvent être utilisés Code GRACH groupement de recherches pour l’apprentissage de la communication avec les personnes handicapées Le PIC code pictogramme Les moyens informatiques logiciels adaptés, synthèse vocale… Exemples de prises en charge au sein des Maisons Perce-Neige Soin par l’eau Dans certaines Maisons Perce-Neige, les équipes ont à leur disposition des piscines et baignoires d’hydrothérapie qui permettent d’apporter des moments de liberté au corps maintenu dans des corsets, coques et/ou fauteuils. C’est notamment le cas dans les Maisons Perce-Neige Musicothérapie Une autre activité pratiquée est la musicothérapie. La musique permet une adaptation aux différentes pathologies des résidents. Dans cet atelier, le résident doit simplement ressentir des émotions. Nous faisons de l’écoute musicale passive ou nous tapons des rythmes en douceur en suivant le tempo d’un disque. Il nous arrive d’utiliser le corps des résidents, en se servant des organes creux poumons, estomac ou en mettant les enceintes près de leur fauteuil. Les vibrations ressenties les apaisent. En dehors des ateliers, nous utilisons également des instruments atypiques, comme la vague musicale’, explique un des animateurs. Il s’agit d’un instrument en bois de forme incurvée avec des rainures d’un côté et des cordes de l’autre. C’est une sorte de harpe horizontale ! Le résident s’allonge dessus et l’animateur tape sur les côtés avec des maillets ou pince les cordes. L’effet de vibration procure une détente quasi immédiate. Nous utilisons également le hérisson’, un instrument composé de picots verticaux en arrondis et de billes. Ses notes s’apparentent au son de ruissellement, un peu comme un bâton de pluie. » L’écoute musicale occupe également une grande place. Nous travaillons ainsi la stimulation sensorielle par l’écoute. On y trouve des matériaux de confort comme des matelas à eau, de la musique, du matériel de lumière boules à facettes, colonne à bulles, lumière noire… et des petits objets qu’on manipule pour travailler des sensations le chaud, le froid…. » Toutes ces activités offrent de belles perspectives. Lorsque les professionnels constatent que certains des résidents lourdement handicapés réussissent à progresser de manière aussi nette grâce à la musique, cela les encourage à continuer dans cette démarche. Histoire & témoignages Directeur d’une Maison Perce-Neige Lorsqu’ils sont dans l’eau, les résidents polyhandicapés ont bien sûr la possibilité de flotter à l’aide de bouées ou de brassards, débarrassés des dispositifs de maintien qui leur sont habituels, mais surtout ils participent à leur déplacement, deviennent maîtres’ de leurs corps ce qui est impossible sur terre’ devient possible dans l’eau. Dans un univers liquide, les résidents ne ressentent plus la contrainte de leur poids ou de leurs muscles qui fonctionnent mal. Nous parvenons par exemple à les faire marcher en décharge’ en les plaçant en position de flottaison verticale. Ils font alors l’expérience de se déplacer avec leurs propres jambes et non grâce à un fauteuil roulant. Lorsqu’ils sont dans l’eau, les résidents polyhandicapés ... deviennent maîtres’ de leurs corps. Bien que l’eau soit utilisée en rééducation motrice, les activités aquatiques de la maison ne s’inscrivent pas dans ce cadre. Nous cherchons plutôt à leur donner la possibilité de bouger, à les faire vivre dans l’espace. Le jeu est une mécanique qui permet cela et qui introduit également la notion de plaisir dans l’eau. S’amuser à mettre la tête sous l’eau ou lancer un ballon qui va éclabousser sont autant d’occasions d’associer eau, mouvement et jeu. L’eau a la particularité d’envelopper le corps. En y étant plongés, certains résidents font spontanément travailler des muscles que nous ne pouvons stimuler en aérien’. Grâce à l’eau, ils sentent mieux leurs corps, comprennent ses limites. Pour certains types de déficiences mentales, ces informations cutanées sont intéressantes car la perception du corps leur est habituellement brouillée. En effet, tout au long de notre vie, nous collectons des millions d’informations liées à nos expériences motrices. Celles-ci participent à notre construction en tant qu’individu. Une personne polyhandicapée, et handicapée mentale de surcroît, n’a pas eu l’opportunité de faire cet apprentissage’. L’eau permet de sentir son corps qui bouge, de découvrir des sensations inédites…Ces nouvelles connaissances’ ont des conséquences psychiques bénéfiques pour le résident. Une séance dans l’eau est aussi un moment de détente. Avec l’aide d’une psychomotricienne, le résident se déplace lentement dans l’eau, exécute des mouvements ondulants… Avec une température à 33° C, l’eau procure un effet apaisant même si des efforts physiques modérés sont fournis. La faible profondeur du bassin lui accorde également des vertus rassurantes. L’eau apporte incontestablement du bien-être aux résidents. Ils en ressentent les bénéfices à différents niveaux. Ils sont souvent plus détendus, plus souriants et plus agréables vis-à -vis des autres. Ils profitent également d’un meilleur sommeil et éprouvent parfois un apaisement réduisant certains troubles du comportement. » Liens utiles GPF Halte Pouce Agissez avec Perce-Neige Faites un don
ODILE, SOLIDAIRE ET COMBATIVE Blog d'informations sur le handicap, la maladie, la perte d'autonomie et les droits des personnes concernées, âgées ou handicapées
L’accueil familial Accueil familial Mode d’accueil alternatif au maintien à domicile et au placement en établissement spécialisé les personnes handicapées ou âgées sont prises en charge au domicile de particuliers agréés et contrôlés par les conseils départementaux ou par des établissements de santé mentale. permet à une personne handicapée ou âgée de bénéficier d’un accueil permanent, temporaire ou séquentiel, à temps plein ou à temps partiel de jour ou de nuit, au sein d’une famille agréée et contrôlée par le Conseil Départemental. A mi-chemin entre le maintien à domicile et le placement en établissement, c’est une excellente solution de répit pour les aidants familiaux. Un mode de prise en charge de proximité, chaleureux, économique, intergénérationnel... La personne accueillie dispose d’une chambre personnelle, participe à la vie de famille, bénéficie d’un accompagnement personnalisé assuré par l’accueillant, son entourage et les services médico-sociaux. L’accueil familial peut être combinée avec un autre mode de prise en charge par des proches ou en établissement accueil de jour, travail en ESAT.... Les personnes accueillies peuvent prétendre à différentes aides financières APL, APA, PCH, crédit d’impôt, aides sociales. Le reste à charge reste à charge Coût restant à la charge de la personne accueillie après déduction des aides sociales et/ou fiscales. , pour une personne non imposable, est généralement inférieur à en 2018 en EHPAD public, en EHPAD privé. Pour en savoir plus, cliquez ici Résumé des différentes étapes pratiques et administratives 1 Pour trouver un accueil familial, servez-vous de la rubrique "annonces" et de la fiche pratique Choisir un accueillant familial pour un parent âgé ; rencontrez, de préférence, plusieurs accueillants ! 2 Complétez et signez, avec l’accueillante de votre choix, un Contrat d’Accueil Familial 3 Si elle ne l’a pas déjà fait, la personne accueillie doit ouvrir un compte employeur sur le site du CESU. Cette formalité peut être accomplie avec l’aide de son représentant légal > voir notre page d’aide. Pour mettre fin à un accueil, voir Comment gérer une rupture de contrat ?
Le nombre de parents à mobilité réduite croît sans cesse. Etre parent et avoir une incapacité physique, un défi que la clinique Parents Plus du Centre de réadaptation Lucie-Bruneau Canada permet de relever. Parents Plus, une clinique spécialisée pour les parents vivant avec une incapacité physique et qui attendent la venue d'un enfant. Dans le cadre des Rendez-vous de la réadaptation du CRLB, un père de famille ayant des limitations témoignera de son expérience et des défis qu'il a relevés. Deux ergothérapeutes, dont l'initiatrice du projet, viendront également présenter la clinique ainsi que les solutions personnalisées qui ont été développées pour accompagner les parents à relever ce nouveau défi. Il y aura aussi une démonstration et manipulation de l'équipement chaise haute, table à langer, lits, baignoires, etc. Alors qu'il y a croissance du nombre de parents à mobilité réduite, peu de ressources existent pour les soutenir. La clinique Parents Plus a mis sur pied plusieurs initiatives pour répondre aux besoins spécifiques de cette clientèle, qui souhaite exercer son rôle parental de façon autonome et en toute sécurité. Renseignements Véronique Arsenault, Morin Relations Publiques, 514 289-8688, poste 227, Cell. 514 923-9371, veronique Source Centre de réadaptation Lucie-Bruneau
avoir un handicap mental et devenir parent